ABUS N° 3311 Le Salon « dépendant » de la Copropriété (Porte de Versailles) ne se moquerait-il pas des copropriétaires ?
Un salon "be to be"
Il y a quatre ans les organisateurs du “Salon de la Copropriété” nous ont déclaré qui nous ne pourrions plus être présent à leur salon, car ce salon était désormais un salon (ne rigolez pas) « be to be » (business to business ; professionnels pour les professionnels).
Il y a quatre ans les organisateurs du “Salon de la Copropriété” nous ont déclaré qui nous ne pourrions plus être présent à leur salon, car ce salon était désormais un salon (ne rigolez pas) « be to be » (business to business ; professionnels pour les professionnels).
En fait les professionnels trouvaient que l’ARC tenait trop de place dans ce salon et leur faisait de l’ombre, d’où notre éviction.
Comme on sait, nous n’avons pas gémi et avons décidé non seulement de ne pas insister pour être présent dans ce salon, mais en plus de créer notre propre salon dit : « Salon indépendant des copropriétaires ».
Chacun a ainsi pu le constater en 2012 : la quatrième édition de notre salon a été un incroyable succès. Non seulement un salon plein pendant deux jours, mais un salon très apprécié par les professionnels eux-mêmes.
Un seul chiffre : alors que le salon de la Porte de Versailles dispose de moyens considérables et d’une « aide » de plusieurs fédérations professionnelles influentes (FNAIM, UNIS, fédération des Ascenseurs, etc.), le salon « versaillais » n’a accueilli que 150 exposants (certains stands ayant d’ailleurs été bradés dans les derniers jours comme on nous l’a rapporté), alors que notre modeste salon a lui accueilli 100 exposants (et aurait pu en accueillir plus si nous n’avions pas manqué de place).
Pour plus d’informations, voir le site : http://www.salon-copropriete-arc.fr
Quand le gros syndic SERGIC tient un stand concernant une filiale dédiée aux...syndics bénévoles
Oui, vous avez bien lu : le cinquième syndic français tenait dans ce salon « dépendant » un stand uniquement destiné à vanter les mérites de sa filiale d’assistance aux syndics bénévoles ! Ça se passe de commentaire, sauf que SERGIC n’a visiblement pas bien compris ce qu’était un syndic bénévole comme nous le montrons dans un article spécial.
En attendant, rions : l’ARC a été interdite de salon parce que celui-ci était (soi-disant) réservé aux professionnels et quatre ans après on y retrouve un gros syndic professionnel qui cherche à attraper les syndics bénévoles NON professionnels au lasso. Et on dira après qu’on exagère. Ô misère !