L’ARC aussi blanche qu’une colombe et aussi forte qu’un aigle

28/06/2016
Événements

L’ARC aussi blanche qu’une colombe et aussi forte qu’un aigle

 
 
Voici maintenant plus d’un an et demi que certains détracteurs essayent de décrédibiliser notre association.
 
N’arrivant pas à contester l’action de l’ARC et la légitimité de son existence, ils essayent de salir l’association en portant plainte auprès du Procureur de la République pour des faits extrêmement graves d’abus de biens sociaux, abus de crédit et abus de pouvoir.
 
Comme toujours, il y a ceux qui nous font confiance et savent pertinemment qu’il s’agit de calomnies et de tentatives de déstabilisation, et ceux qui, sûrement de « bonne foi », relayent l’information en considérant que l’ARC est déjà condamnée et que son président a les menottes aux poignets.
 
Bien évidemment, l’ARC pouvait tomber dans la facilité et utiliser son site Internet pour dénoncer ce type de pratiques honteuses.
 
Néanmoins, le Conseil d’Administration de l’ARC présidé par Monsieur Gérard Andrieux a considéré que le site internet de l’ARC était avant tout au service des responsables de copropriété et non un défouloir pour régler des comptes personnels.
 
C’est ainsi que l’association a préféré attendre en toute sérénité la décision judiciaire pour ensuite communiquer sur la réalité de la situation.
 
Le 9 juin 2016, le parquet du Procureur de la République a rendu sa décision et a prononcé un avis de classement sans suite considérant que les abus de biens sociaux, abus de crédit et abus de pouvoir n’étaient pas fondés ni avérés.
 
Cette victoire est d’autant plus grande pour l’ARC, sachant que la plainte a été initiée et instruite par des personnes qui avaient comme seul objectif d’obtenir une condamnation de l’ARC.
 
Nous ne résistons pas à l’envie de reproduire un extrait du courrier issu du tribunal d’Instance de Paris :
 
 
 
 
 
 
« Faits : Abus de biens sociaux, abus de crédit, abus de pouvoir.
 
Avis de classement
 
L’examen de cette procédure ne justifie pas de poursuite pénale au motif que :
 
Les faits ou les circonstances des faits dont vous vous êtes plaint n’ont pu être clairement établis par l’enquête.
Les preuves ne sont donc pas suffisantes pour que l’affaire soit jugée par un tribunal.
 
Vous pouvez contester cette décision de classement en adressant un courrier motivé et accompagné d’une copie du présent avis de classement au procureur général près la cour d’appel. »
 
 
 
 
Nous nous réjouissons évidemment de cette réponse, qui n’a pas dû être du goût des médisants, de certains syndics, de contributeurs de forums tels que celui qui signe sous les initiales FBO, et gens de la même espèce, l’ARC sort non seulement blanchie de toute incrimination, mais en plus grandie d’une enquête judiciaire qui a confirmé la gestion exemplaire et transparente de l’ARC.
 
Nous profitons de cet article, pour remercier l’ensemble des adhérents, partenaires, collaborateurs, mais aussi certains syndics professionnels qui nous ont fait confiance et nous ont manifesté leur soutien malgré les rumeurs.
 
Après être blanchie comme une colombe, il ne reste plus à l’ARC qu’à être forte comme un aigle...