L’ARC est accoutumée à recevoir des courriers en recommandé émanant de syndics professionnels ou de sociétés indélicates « menaçant » le président ou le directeur général de l’association d’actions judiciaires si un abus les concernant n’était pas supprimé de notre site Internet.
Droits dans nos bottes, nous refusons systématiquement de faire suite à ces demandes en invitant ces professionnels à corriger leurs pratiques ou à nous assigner s’ils considéraient que nos accusations étaient infondées.
Dernièrement, le directeur général a reçu un courrier en recommandé bien étrange émanant cette fois-ci, non pas d’un cabinet de syndic, ni d’une société, mais de trois membres du conseil d’administration de l’ARC.
L’objectif recherché est de faire taire le directeur général en l’intimidant d’une action judiciaire à son encontre, afin de le dissuader de dénoncer les agissements contre-productifs engagés par ces trois membres du conseil d’administration.
Voici en effet un extrait de leur courrier :
« Ayant pu constater dans le passé que vous avez pris une part active aux débats qui ont secoué le conseil, nous avons l’honneur de vous rappeler, qu’en tant que salarié de l’association, vous êtes tenu, sauf à engager votre responsabilité personnelle, à ne pas prendre parti dans ces débats entre administrateurs... »
Ce document est signé par Jean-Claude BOUILLET, Rolande EVRARD et Max MORTIER, tous trois administrateurs de l’ARC (le courrier intégral est à la disposition des adhérents à l’accueil de l’association).
-
Une grosse erreur inadmissible commise par ces trois administrateurs
Il est clair que ces trois administrateurs ne connaissent pas les réelles convictions des dirigeants de l’ARC et la force qui anime l’association pour défendre sans compromis l’intérêt de l’ARC et de ses adhérents, même au prix d’une action judiciaire.
C’est la raison pour laquelle non seulement le Directeur général de l’ARC ne se taira pas, mais au contraire, il prendra parti dans ce débat pour assurer que les actions mises en place au sein de l’association se font au profit des adhérents et pourront perdurer et se multiplier dans le temps.
C’est ainsi que le directeur général interviendra le 23 juin 2016 lors du Colloque (voir : www.arc-copro.com/fkv2), pour expliquer pourquoi, selon lui, Madame Rolande EVRARD et Messieurs Jean-Claude BOUILLET et Max MORTIER n’ont pas leur place au sein du Conseil d’Administration de l’ARC.
-
Comment défendre les intérêts de l’association ?
Pour le Directeur général, il est clair que face à la diffamation et à la calomnie de ses trois administrateurs, il sera question de mettre en balance l’ensemble des actions qui ont été menées en l’espace d’un an et demi sous l’impulsion du président en place, monsieur Gérard ANDRIEUX.
En effet, l’ARC a pu organiser et mettre en œuvre des colloques, la diffusion de guides gratuits, de nouvelles formations le samedi, des consultations en soirée, des formations sur Internet, de nouvelles rubriques sur le site, de nouveaux logiciels pour les syndics bénévoles et les conseils syndicaux, des permanences locales...
Bientôt, ce sera la distribution dans les kiosques et point relais d’un magazine grand public à destination des copropriétaires, un logiciel pour aider les syndics bénévoles à l’immatriculation des copropriétés, une assistance pour la pesée des postes et la rémunération des gardiens et employés d’immeubles...
Il est donc essentiel que tous les adhérents qui ont à cœur de voir perdurer toutes ces actions, ainsi que la dénonciation des abus des syndics sur notre site Internet, se rendent de façon massive à l’assemblée générale pour défendre l’équipe de Gérard ANDRIEUX.
S’il vous est impossible de vous déplacer, transmettez votre pouvoir en désignant « Gérard Andrieux » comme mandataire pour qu’il puisse être réélu et continuer, avec le Directeur général, à consolider les projets déjà mis en place ainsi que le développement de nouveaux services.
Il est donc essentiel que tous les adhérents de l’ARC se mobilisent pour éradiquer les actions menées au sein du conseil d’administration par tous ceux qui voudraient la perte de notre association telle qu’elle existe actuellement.