ARC Abus n°1530: 01 10 08/
L’ARC et les syndics (5ème partie)
Cette semaine nous allons tenter de répondre à la question suivante : « Qu’est-ce qu’il faut pour qu’un syndic soit bon ? ».
Comme on va le voir pour être « bon » (c’est-à-dire défendre vraiment et efficacement les intérêts de ses mandats) un syndic doit à la fois accomplir un certain nombre de tâches et à la fois EVITER de se livrer à certaines pratiques. Tout le reste, ce sont de beaux discours.
On trouvera une liste d’environ 120 critères positifs ou négatifs (ce qu’il ne faut pas faire). Cette liste n’est évidemment pas exhaustive et toute contribution sera la bienvenue. Disons que c’est un dégrossissage.
La semaine prochaine nous répondrons à une autre question non moins complexe : « Compte tenu des logiques propres aux syndics d’aujourd’hui, est-il vraiment possible d’avoir un « bon » syndic et si oui, qui sont ces « perles » ?
Les trois niveaux d’analyse de la qualité de gestion :
- la COMPÉTENCE
- la DISPONIBILITÉ
- la PROBITÉ
Pour être un bon syndic voici trois séries de conditions :
Il faut d’abord être compétent et efficace dans les différents domaines de la gestion :
la maîtrise des charges courante...
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