Le cabinet MICHOT reconnaît enfin ses torts...
le maladroit
Nous avions épinglé le cabinet MICHOT à Antibes Juan les Pins qui avait volontairement et illégalement écarté une demande de « mise en concurrence » avec un autre syndic adressée dans les formes et délais légaux.
Nous l’avions fait parce que nous disposions d’une transcription étonnante de l’assemblée générale établie par un huissier et montrant l’incroyable « culot illégaliste » de ce syndic.
Suite à notre abus numéro 3359 : http://arc-copro.fr/?q=documentation/abus-3359-comment-un-syndic-%C2%AB-fait-sa-loi-%C2%BB-et-%C3%A9carte-la-concurrence-le-cabinet-michot , le cabinet MICHOT a écrit à tous ses copropriétaires :
« Oui j’ai commis une maladresse lorsque de bonne foi j’ai refusé de prendre en compte la demande de Mme....... qui pour l’assemblée générale tenait à porter à l’ordre du jour la candidature d’un autre syndic ».
Diable ! « Maladresse ? », « de bonne foi ? ». Il s’agit d’une entrave caractérisée non seulement aux droits fondamentaux des copropriétaires, mais à la libre concurrence et cela donne : « maladresse » et « de bonne foi ».
C’était donc cela : les syndics ne sont pas « dans l’illégalité » ou « hors-la-loi » ; ils ne « piétinent » pas en permanence et volontairement les « droits » des copropriétaires ; ils « n’exercent » pas une intolérable « entrave » aux droits des conseils syndicaux.
Non, en fait, les syndics sont tout simplement... des « maladroits » et s’ils refusent d’appliquer la loi, c’est... « de bonne foi ».
Ah ! mes amis, quelle révélation réconfortante. Nous en avons les larmes aux yeux.
Sacré MICHOT, va !