ABUS 3467 SYNDIC+ (SYNDIC PLUS) se défend en essayant de salir l’ARC et le directeur de l’ARC et se prend une gifle

27/06/2013 Abus Abus

ABUS 3467 SYNDIC+ (SYNDIC PLUS) se défend en essayant de salir l’ARC et le directeur de l’ARC et se prend une gifle

 

 

I. L’audience judiciaire du 19 juin 2013

 

Le 19 juin 2013, l’ARC était assignée par « SYNDIC+ » (SYNDIC PLUS) pour UN seul des articles publiés sur notre site Internet concernant ce néo-syndic soi-disant transparent, dont on sait maintenant (grâce à l’ARC) qu’il s’agit ni plus ni moins que d’une filiale de FONCIA.

 

Le directeur de l’ARC, Bruno DHONT, par ailleurs directeur de la publication du site, était naturellement présent pour répondre aux questions des juges et défendre l’honneur et le travail de l’ARC.

 

Côté « SYNDIC+ » (SYNDIC PLUS) personne : ni le Président Thierry WINZELLE, ni les deux publicitaires et premiers actionnaires (Messieurs Bertrand FREY et Pascal JOSSELIN), ni FONCIA.

 

Pour des gens soit disant diffamés et mis mal en point par l’ARC, ce refus de la confrontation est plutôt singulier.

 

II. L’air de la calomnie

 

La présidente du tribunal correctionnel a d’abord - comme le veut la procédure -donné la parole à l’avocat de SYNDIC+. Cet avocat aurait dû  répondre à la question de l’ARC : dans quel but SYNDIC+ trompe-t-il  à deux reprises les copropriétaires dans son questionnaire destiné à recueillir des données confidentielles de façon illégale ?

 

Or, au lieu de répondre à cette question plus que gênante (à laquelle il ne répondra d’ailleurs pas), voici que l’avocat de SYNDIC+ se déchaîne :

 

·« L’ARC est une entreprise commerciale déguisée en association. Derrière cette association il y a, en effet, une entreprise commerciale, Copropriété-Services ».

 

·«  Le directeur de l’ARC - soi-disant gérant bénévole de la coopérative de l’ARC - est, en fait un affairiste, uniquement préoccupé par l’argent.

 

·« Copropriété-Services est une société qui marche très bien et distribue des dividendes confortables, etc, etc. ».

 

Autant de calomnies immondes et surtout ridicules que les plus ringards et mal informés des syndics professionnels n’osent plus proférer depuis longtemps.

 

Malheureusement pour cet avocat et son client « SYNDIC+ », Copropriété-Services est une banale coopérative au service des seuls adhérents de l’ARC parfaitement transparente créée sous forme d’UNION d’ÉCONOMIE SOCIALE, qui ne PEUT verser des dividendes à quiconque et ne peut réaliser aucun profit. Son gérant est forcément bénévole. Insistons sur le fait que cette coopérative est réservée exclusivement aux adhérents de l’ARC ( voir : www.unarc.fr/nue8 ).

 

Mais il y a eu plus grave encore : cet avocat ignorant a osé ajouter cette bêtise :

 

« Et en plus l’ARC vend à prix d’or [oui, à « prix d’or » a-t-il dit] des encarts publicitaires dans sa revue ». Bigre.

 

Mais faux encore une fois, monsieur le mal renseigné : Copropriété-Services vend 300 à 400 euros aux seules sociétés référencées par elle des encarts permettant de diffuser gratuitement à des milliers d’exemplaires un catalogue technique inégalé (oui i-né-ga-lé) et ne retire aucun bénéfice de cette opération « qui permet uniquement de financer la publication».

 

En fait c’est toujours la même chose : certaines personnes ont du mal à imaginer que leurs adversaires ne soient pas à leur image. Désolés de vous décevoir :

 

-le directeur de l’ARC n’est pas un homme d’affaires et encore moins un « affairiste » ;

-le gérant bénévole de Copropriété-Services ne touche PAS un centime, ni directement ni indirectement ;

-la coopérative est contrôlée par le Conseil d’Administration de l’ARC, lui aussi constitué de  bénévoles.

 

Simple. Tout simple. Trop simple sans doute.

 

III. Un tribunal à l’écoute

 

La présidente du tribunal l’a bien senti, semble-t-il.

 

En effet, l’avocat de SYNDIC+ avait à peine achevé sa plaidoirie, que la Présidente a tenu ces propos : « Le directeur de la publication du site Internet de l’UNARC étant présent, s’il veut répondre, il le peut ».

 

« Merci madame la présidente ». Oui, comme on l’a dit, Bruno DHONT le directeur de l’ARC était présent à l’audience, et il remercia vivement la présidente de cette possibilité qui lui était donnée de se défendre d’homme à homme [à noter que la présidente n’était pas obligée de donner la parole au directeur de l’ARC puisque l’ARC était représentée par un avocat] ; le directeur de l’ARC pu alors remettre les « pendules à l’heure ».

 

- « Non l’ARC ne fait pas d’affaires (voir : www.unarc.fr/nue8 )  car la coopérative de l’ARC (effectivement une Union d’Économie Sociale) est une vraie coopérative et ne PEUT distribuer de dividendes.

 

-« Non le gérant bénévole de la coopérative non seulement n’est pas un « affairiste (on ne peut pas en dire autant de tout le monde) et ne peut pas l’être, la coopérative ne pouvant faire de profits.

 

-« Oui, il est lamentable que pour éviter d’avoir à répondre sur des agissements de « SYNDIC+ » révélés par l’ARC et destinés à « tromper » les copropriétaires, l’avocat de SYNDIC+ en vienne à vouloir salir la réputation d’un honnête homme» (ceci d’autant plus que cet avocat n’a proféré ces bassesses qu’à l’oral et non dans ses conclusions écrites, et pour cause...).

 

IV. Une belle gifle à « SYNDIC+ »

 

 

Après cette « gifle », le directeur de l’ARC est retourné s’asseoir bien soulagé.

 

À noter que notre directeur aurait dû être présent - en cette après-midi du 19 juin et au lieu d’être au tribunal - à un Colloque organisé par la Fondation Abbé Pierre sur les copropriétés en difficulté, Colloque où deux chargées de mission de l’ARC travaillant avec la Fondation Abbé Pierre intervenaient aux côtés des copropriétaires concernés.

 

Le jugement sera rendu en septembre 2013 et d’ici là, l’ARC et tous ses administrateurs et collaborateurs continueront - sereinement - à publier des « abus » à chaque fois qu’il aura abus, et à répondre à toutes les calomnies à chaque fois qu’il y aura calomnie.