ABUS 3624 CHRISTAL et SAGEX : un témoignage accablant (également pour CITYA) concernant le « forcing » commercial

23/01/2014 Abus Abus

ABUS 3624  CHRISTAL et SAGEX : un témoignage accablant (également pour CITYA) concernant le « forcing » commercial
 
Nous allons illustrer le proverbe : « qui se ressemble s’assemble ». En l’occurrence SAGEX, CHRISTAL et CITYA.
 
  1. Confirmation
 
Beaucoup de nos adhérents se sont déjà débarrassés des sociétés CHRISTAL, SAGEX, DEP et ETB et nous ont fait savoir leur satisfaction à la lecture de notre abus numéro 3613 (www.unarc.fr/hxcy)  et de notre dossier (www.unarc.fr/jjud) de la semaine dernière.
Suite à ces articles, une présidente de conseil syndical d’une copropriété des Alpes Maritimes nous a adressé un témoignage circonstancié, accablant non seulement pour CHRISTAL et SAGEX mais aussi pour CITYA, nous rappelant ainsi que ces sociétés ne prospèrent que parce que « certains » syndics leur ouvrent leur porte.
 
  1. La lettre de la présidente
 
« Bonjour,
  
J'ai lu avec beaucoup d’intérêt votre article sur les sociétés CHRISTAL ET SAGEX.
Je suis  d’autant moins étonnée que ces deux sociétés ont fait mieux dans notre copropriété (06) et dans d’autres copropriété sur la commune et ses environs.
Ces deux sociétés s’introduisent illégalement dans notre copropriété. SAGEX fait le contrôle de nos extincteurs (tout au moins ils apposent leurs étiquettes) y compris en rentrant dans les locaux réservés (chaufferie), mettent les dates de passage sur les blocs des éclairages de secours  et CHRISTAL jette dans nos sous- sols des sachets de dératisations et colle des affichettes un peu partout sur les portes des sous-sols.
 
Bien sûr les N° de tel affichés sur leurs étiquettes sont de numéros payants et ils ne répondent pas.
Le conseil syndical a fait savoir à notre syndic (CITYA) notre refus de ce type d’intrusion dans notre copropriété et le fait qu’aucun contrat n’avait été signé et le refus de toute facturation éventuelle.
Nous leur avons demandé d’adresser un courrier de mécontentement à ces deux sociétés, mais nous n’avons jamais eu la copie. Au moins nous n’avons jamais reçu de facture.
 
Après « enquêtes » auprès de nos prestataires habituels, l’un d’entre eux nous a dit que ces méthodes étaient de plus en plus répandues  sur la région.
Cela fait la deuxième année que ces intrusions se répètent et nous ne connaissons  pas de méthode pour les empêcher d’intervenir. 
 
Des méthodes de « forcing" commercial qui se généralisent au détriment  de sociétés locales compétentes, disponibles et souvent moins couteuses et surtout des méthodes qui rendent difficile le contrôle des intervenants en copropriété.
 
Voilà qui complètera votre dossier et merci pour toutes les informations et aides que notre conseil syndical trouve avec l’ARC ».
 
Merci, chère Madame. Bravo pour votre témoignage et surtout votre résistance à ce « forcing ».