ABUS 3643 Quand la GIEP s’enfonce : il faut bien rire un peu

20/02/2014 Abus Abus

ABUS 3643   Quand la GIEP s’enfonce : il faut bien rire un peu

 
 
 
Le 1er septembre 2013, il y a donc 5 mois nous dénoncions - à nouveau - les clauses illégales ou abusives d’un contrat de la GIEP dont une clause prouvant que la giep pouvait mentir effrontément y compris dans ses droits de réponse judiciaire.
 
Le 6 février, la même giep nous envoie un nouveau droit de réponse incroyable pour un autre abus 3604 dans lequel nous avions fait référence à cette histoire. La GIEP ne nie pas (et pour cause). Elle dit simplement : « donnez-nous l’adresse ». Comme on le voit : professionnalisme limité.
 
Nous avons donc le plaisir :
 
  • de reproduire ce droit de réponse qui ne répond à rien ;
  • de reproduire notre réponse.
 
Car depuis il s’est passé quelque chose dans cette grosse résidence : notre adhérente a été rejointe par un autre groupe d’adhérents qui a décidé d’engager un procès suite aux nombreuses erreurs commises par la GIEP dans cette grosse copropriété de Fresnes (« La ferme »).
 
Le Tribunal de Grande Instance de Créteil, saisi, va bientôt rendre son jugement.
 
Voici les textes de la GIEP (plutôt savoureux) et notre réponse.
 
DROIT DE RÉPONSE DE GIEP
 
« Votre abus n° 3604 appelle non pas l'action en diffamation que vous semblez tenir pour évidente, mais plus simplement un droit de réponse et cette observation : nous vous confirmons que la clause que vous évoquez ne figure plus dans nos contrats. S'il s'avère qu'elle a été maintenue dans un contrat signé en juin 2013, il vous suffit de nous signaler le cas en précisant la copropriété concernée ce qui nous permettra de vérifier ce qu'il en est, et d'intervenir aussitôt si le cas est confirmé. Cela sera plus utile qu'un article virulent ne donnant pas de précision et qui ne nous permet pas d'agir ».
 
Curieux : ce n’est pas seulement dans notre abus numéro 3604 du 19 décembre 2013 mais d’abord dans l’abus numéro 3531 du 19 septembre 2013 que nous avons signalé ce mensonge.
Évidemment la GIEP n’a pas réagi à ce moment. Et pour cause. Elle savait qu’elle avait tort : la GIEP fait mine de ne pas connaître les contrats qu’elle signe et nous demande de bien vouloir lui signaler ce qu’elle appelle ses erreurs. On croit rêver.
Lisez mieux les courriers que vous adressent nos adhérents, Messieurs de la GIEP.
Quant au fait qu’UN SEUL de vos contrats puisse contenir une clause illégale, vous nous permettez - nous et nos adhérents - là encore de rigoler doucement.
Mais comme nous sommes « bons enfants », nous vous donnons l’adresse de cette copropriété de plusieurs centaines de lots où vous avez - par hasard et exceptionnellement - fait voter plusieurs contrats illégaux : Résidence LA FERME 37/39, rue Maurice TENINE 94260 FRESNE (syndicat principal plus syndicats secondaires…).
Mieux : un certain nombre de copropriétaires de cette résidence - fatigués par toutes les irrégularités commises par la GIEP - ont saisi le Tribunal de Grande Instance de Créteil qui va bientôt se prononcer.
La GIEP aura donc directement des nouvelles via notre site.
Merci qui ?