ABUS 3787 L’efficacité vraiment étonnante du site de l’ARC : le cas du syndic SYCOGEST à Étampes (Essonne)

10/10/2014 Abus Abus

ABUS 3787   L’efficacité vraiment étonnante du site de l’ARC : le cas du syndic SYCOGEST à Étampes (Essonne)

 
Beaucoup de copropriétaires « malins » procèdent ainsi :
 
  • ils adressent un courrier RAR à leur syndic en mettant copie à l’ARC ;
  • ils menacent le syndic d’une publication sur le site de l’ARC, ce qui - souvent - décide le syndic à satisfaire à la demande.
 
Seul petit problème : ces copropriétaires ne sont pas toujours adhérents à l’ARC et nous utilisent un peu... abusivement, pourrait-on dire.
 
Avant de raconter l’histoire qui suit, rappelons ceci :
 
  1. le site Internet de l’ARC est « fabriqué » par les salariés de l’ARC, ce qui nous coûte de l’argent ;
  2. le site ne contient AUCUNE bannière commerciale ;
  3. si vous voulez, chers visiteurs, continuer à profiter de notre force de frappe « indépendante », il faut absolument nous donner les moyens de cette indépendance et adhérer. Est-ce trop demander ?
 
Ceci étant dit, continuons et racontons cette belle histoire.
 
  1. Un vendeur qui ne peut récupérer ses provisions « travaux »

 
C’est l’histoire d’un copropriétaire qui vend son logement.
 
Des travaux ont été votés et non appelés. La quote part a été demandée lors de la vente et versée au notaire (1.229,46 €).
 
Les travaux ayant été abandonnés, le vendeur demande au syndic le remboursement. « Ce n’est pas moi qui ai la somme, mais le notaire », répond SYCOGEST, le syndic.
 
Or, le vendeur a les preuves que ce n’est pas exact et qu’en fait le syndic a bien touché l’argent du notaire.
 
  1. Appel au site de l’UNARC

 
« Très bien, cher syndic, dit le copropriétaire, alors je saisis l’UNARC pour qu’il publie un abus ».
 
  1. Le syndic piqué… aux fesses

 
La réponse du syndic vaut son pesant de cacahuètes. Juges-en :
 
« Votre propagande ( ?) à juger notre malhonnêteté et à diffuser ce type d’information auprès de l’UNARC s’apparente à de la diffamation et de la calomnie ».
 
 
Et le pauvre calomnié continue : « Ceci étant nous sommes en mesure - après vérification - de vous adresser la somme de 1.229,46 € ».
 
Oh le brave homme que voici, le brave calomnié qui - menacé de publication sur le site de l’UNARC - procède à des vérifications et à un remboursement.
 
On dira que nous ne sommes pas très gentils et que ce remboursement arraché de la sorte valait bien un silence de notre part.
 
Non, hélas, car « qui a bu boiera » et nous ne sommes pas là, à l’ARC, pour laisser les copropriétaires - même nos adhérents - être pris pour des pigeons.
 
Conclusion :
 
  • chers syndics, évitez de trop profiter de la situation et de raconter n’importe quoi aux copropriétaires ;
  • chers copropriétaires, évitez de prendre notre association indépendante et efficace pour un service public et… adhérez (surtout quand vous avez eu gain de cause), et « tout ira bien dans le meilleur des mondes possibles… ».