ABUS 3798 CITYA-Béziers : la « culture » CITYA puissance 2 ou l’arroseur arrosé

22/10/2014 Abus Abus

ABUS 3798   CITYA-Béziers : la « culture » CITYA puissance 2 ou l’arroseur arrosé

 
 
Un de nos adhérents - membre d’un conseil syndical - a le malheur de poser quelques questions gênantes au responsable de son cabinet CITYA à Béziers.
 
Pour démontrer les procédés « indélicats » de CITYA qu’il met en avant concernant l’assurance, il se permet d’adresser quelques liens concernant CITYA, son PDG Philippe BRIAND, la société unipersonnelle de ce monsieur (par ailleurs directement lié à l’affaire BYGMALION) qui s’appelle Saint-Pierre Assurance.
 
Or le gérant de CITYA-Béziers - au lieu de faire profil bas - ne répond pas (à la manière de CITYA), mais se permet de proférer des énormités et contre-vérités que nous vous laissons le soin de découvrir dans la lettre ci-dessous.
 
Cette lettre de l’ARC reprend en effet les énormités de ce monsieur (qui ne s’est toujours NI rétracté NI excusé).
 
Question angoissante : comment peut-on confier les clefs de sa copropriété à des personnes qui peuvent - sans honte - proférer de telles insanités.  A vous de juger ?
 
Lettre de l’ARC au gérant de CITYA-Béziers :
 
« CITYA Port Neuf
Monsieur Pierre LACOTE -Gérant
25, quai Port Neuf
34500 BÉZIERS
 
Paris, le 13 Octobre 2014
Envoi par courriel
 
Objet : résidence …… à Béziers
 
Monsieur,
 
Un des conseillers syndicaux d’une des résidences (référencée) que vous gérez à Béziers vous a adressé un certain nombre de remarques, y compris concernant les irrégularités ET illégalités commises par Citya au profit du Président directeur général de Citya, Philippe Briand actionnaire unique de Saint-Pierre Assurance.
 
Il vous a - pour cela - donné les liens vers des articles de notre site Internet relatifs à ces irrégularités et qui n’ont JAMIAIS fait l’objet du moindre démenti ni de la moindre réponse.
 
Or - esquivant de façon particulièrement évidente et honteuse les mises en cause de ce conseiller syndical - vous vous êtes contenté d’écrire les propos suivants, dont nous allons montré qu’il s’agit de deux contre-vérités particulièrement graves dont nous vous demandons correction et réparation.
 
Citation de vos propos : (en réponse à la communication de deux liens concernant les illégalités du PDG de Citya, vous vous contentez de répondre ceci) : 
 
« Le président de l’ARC a été destitué de son poste de président pour avoir attaqué plusieurs syndics (diffamation). Cette personne est maintenant syndic à son compte sur la place de Montpellier. Cela vous permettra d’apprécier les informations qu’a divulguées l’ARC » (nous ne reproduisons pas les fautes d’orthographe).
 
  1. Première grave contre-vérité de votre part : « le président de l’ARC a été destitué de son poste de président pour avoir attaqué plusieurs syndics (diffamation) ».
 
  • Le président de l’ARC a - au contraire - été révoqué par une assemblée générale pour avoir supprimé du site Internet de l’ARC  sans raison deux articles concernant un syndic et un gestionnaire mettant en cause leurs pratiques et écrits préjudiciables non seulement aux copropriétaires, mais aussi à une association régionale membre de l’UNARC.
 
  • Nous insistons : exactement le contraire de ce que vous affirmez.
 
  1. Deuxième contre-vérité de votre part « Cette personne est maintenant syndic à son compte sur la place de Montpellier ».
 
  • L’ancien président de l’ARC est en retraite depuis huit ans et vit toujours à Paris.
  • Vous confondez avec un ancien salarié de l’ARC - non maintenu à son poste pour insuffisance professionnelle à la fin de sa période d’essai - qui a rejoint un syndic de Montpellier.
 
  1. Enfin vous concluez de façon ridicule et peu courageuse (vous esquivez les problèmes) : « Cela vous permettra d’apprécier les informations qu’a divulguées l’ARC ».
 
  • Nous dirons de notre côté : votre double erreur confirme bien tout ce que nous reprochons à Citya : mensonges fréquents et approximations également fréquentes.
 
Néanmoins nous n’entendons pas vous laisser proférer de telles inepties sur notre compte, inepties dont le côté éminemment fantaisiste est vérifiable par tous. Votre dernière phrase constituant une diffamation publique, nous vous mettons en demeure d’adresser vous-même notre réponse à tous vos interlocuteurs et de diffuser une lettre de démenti dans laquelle vous expliquerez à quel point vous avez - une fois de plus - confondu le jour et la nuit.
 
Au cas où vous ne satisferiez pas à notre demande, nous procéderons nous-mêmes à une large diffusion.
 
Recevez, Monsieur, nos salutations.
 
 
Bruno DHONT                                                                      Jean-Claude BOUILLET
 
Directeur général                                                                              Président ».