ABUS 3923 Mais pourquoi Saint-Pierre Assurance (une des sociétés unipersonnelles de Monsieur BRIAND) est-elle devenue « CITYA-Assurance » ?

20/02/2015 Abus Abus

ABUS 3923 Mais pourquoi Saint-Pierre Assurance (une des sociétés unipersonnelles de Monsieur BRIAND)

est-elle devenue « CITYA-Assurance » ?

 
 
On le sait, car  cela fait des mois que nous dénonçons sur notre site : tous  les cabinets CITYA de France jouent les  « rabatteurs » commerciaux au profit de la société unipersonnelle de leur président, Saint-Pierre Assurance, ceci sans JAMAIS indiquer le lien existant entre Philippe Briand, PDG de Citya et Philippe Briand, actionnaire unique de Saint Pierre Assurance.
 
Cette  situation est d’autant plus choquante que les cabinets Citya ne se contentent pas de placer des assurances personnelles auprès des copropriétaires (type PNO), mais déplacent - sans accord des AG ni des conseils syndicaux - des assurances multirisques immeubles de la France entière vers ce courtier situé à Tours.
 
Monsieur Philippe BRIAND vient de trouver une astuce : il a débaptisé (début 2015 !) sa société unipersonnelle pour l’appeler « CITYA Assurances ».
 
Ainsi, va-t-il pouvoir dire que- maintenant -  tout est transparent.
 
Hé bien non ; on va voir que nous sommes encore dans le trouble cher à ce groupe et dans la volonté de tromper le client. Voyons cela, Monsieur le Président Philippe Briand.
 
  1. En appelant votre société unipersonnelle « CITYA Assurance » vous laissez, en effet, croire qu’il s’agit d’une filiale de CITYA, DONC que les cabinets  Citya sont bien habilités à faire du «  rabattage » commercial, voire à collecter les chèques comme nous l’avons dénoncé.
 
  1. Or, ceci est FAUX, monsieur le Président : CITYA Assurances n’est pas une filiale de CITYA, mais reste votre unique propriété et vous allez maintenant continuer à utiliser les cabinets CITYA à votre seul profit personnel, en faisant en plus croire  qu’il s’agit de la «  maison CITYA ».
 
C’est en cela qu’il y a tromperie. La fausse transparence du nom au service des  petites et grandes affaires du président de Citya.
 
Au fait, voici plusieurs semaines que nous avons saisi la commission d’éthique et de déontologie (défense de rigoler) de la Fnaim des problèmes concernant les pratiques de Citya, cette même Fnaim qui dispose de trois sièges au CNTGI. Or, toujours pas de réponse.
 
Nous allons finir par penser que la Fnaim couvre son principal adhérent.