abus 5033: Nous avons trouvé l’incarnation de Pinocchio : il s’appelle CITYA !

20/05/2024 Abus Abus

Qui ne connaît pas la fameuse scène où l’on demande à Pinocchio s’il est parti à l’école et à la suite de ses réponses son nez commence à s’allonger jusqu’à faire pousser un nid d’oiseaux car il a honteusement menti.

Dans le même registre, nous avons trouvé le Pinocchio de la copropriété : il s’appelle CITYA !

En effet, qui ne connaît pas CITYA pour ses abus et illégalités commis délibérément au détriment de ses copropriétés mandantes pour augmenter ses profits ?

A vrai dire, à travers notre rubrique « Abus », il est notre principal sponsor au vu de son palmarès.

Mais là, CITYA a fait encore plus fort en s’inventant une vie jusqu’à aller raconter un fantasme concernant l’ARC Nationale.

Sans plus tarder, voyons comment le nez de CITYA s’est allongé.

Pour cela, il faut reprendre le post publié par CITYA immobilier la veille du Pont des 8 et 9 mai à 18h afin que l’ARC Nationale ne puisse réagir. Quel courage !

Le voici donc :

Ainsi, d’une part, l’ARC Nationale aurait été déboutée de son action, mais en plus elle aurait été condamnée en diffamation contre CITYA en février 2016.

Bien évidemment, les salariés de CITYA qui ont peur de perdre leur « job », ont tout de suite « liké » et les déprimés et idiots utiles du systéme ont relayé, sans vérifier l’information se réjouissant que l’ARC Nationale aurait été touchée en plein cœur.

Alors, vérifions ces deux fantasmes avec des documents à l’appui.

I – L’ARC Nationale déboutée de son action contre 8 agences de CITYA

En 2022, l’ARC Nationale a reçu plusieurs plaintes de copropriétaires concernant leur agence de CITYA qui avaient utilisé leurs adresses personnelles pour faire la promotion de ventes de bouteilles de vin ou d’abonnements à un opérateur d’internet auprès d’un opérateur.

Pour mémoire, voici un extrait d’un spam envoyé :

Nous avons alors saisi la CNIL et engagé en parallèle une action judiciaire pour faire arrêter cette pratique illégale non conforme au RGPD.

Cette action judiciaire était avant tout un moyen pour :

a) vérifier si l’ARC Nationale pouvait agir judicairement au nom de ses adhérents,

b) que CITYA arrête ses agissements commis en toute impunité.

En date du 21 septembre 2023, une décision judiciaire a été rendue :

  • 1/ confirmant que l’ARC Nationale pouvait agir au nom de ses adhérents. Il s’agit là une victoire très importante, ouvrant la possibilité à notre association de défendre, y compris judiciairement, des copropriétés lésées par leur syndic
  •  2/ imposant de procéder à une phase de conciliation comme cela est à présent obligatoire.

Or, compte tenu du fait que CITYA a arrêté ses agissements et que la CNIL est sûrement intervenue, il n’y avait aucun intérêt à concilier.

Voilà pourquoi l’ARC Nationale a tout simplement gagné cette affaire car CITYA a capitulé en respectant le droit des copropriétaires.


 

D’ailleurs, il est intéressant de relever que CITYA s’est en tous points conformé aux exigences de la CNIL au vu des derniers mails envoyés aux copropriétaires.

Il est donc mensonger d’affirmer que l’ARC Nationale a été déboutée.

II – L’ARC Nationale condamnée en diffamation

Alors là, nous avons le pompon ! Comment affirmer le contraire de la vérité ? Demandez à CITYA Pinocchio.

En effet, en 2016, suite à la publication d’un article dénonçant CITYA et surtout son président, Philippe BRIAND, qui était alors Député, ce dernier nous a attaqués au pénal en diffamation devant le Tribunal Correctionnel demandant sous astreinte de publier la décision sur notre site internet et également d’être condamnés à 10.000 €

Alors que CITYA affirme nous avoir fait condamner en diffamation, la réalité est qu’il a été, cette fois-ci, bien débouté.

Et oui, CITYA a perdu sur toute la ligne et pire, le Magistrat a confirmé la légitimité de l’ARC Nationale à s’exprimer.

Ainsi, nous ne résistons pas à reproduire la décision du Juge pour démontrer dans quel délire les communicants de CITYA sont entrés.

Et oui, c’est ça CITYA : la manipulation, le mensonge et la calomnie.

PS -  Nous n’en voulons pas aux gestionnaires qui n’ont pas eu d’autre choix que de « liker » les publications de CITYA.