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SYNDIC + (SYNDIC PLUS) :
l’ARC s’acharne-t-elle contre ce syndic « nouvelle génération » ?
- Pendant des mois « SYNDIC + » (SYNDIC PLUS) a abreuvé les copropriétaires de publicités et de spams et continue à le faire. Il s’y présentait comme un néo-syndic qui allait racheter la mauvaise réputation bien méritée (disait-il) de ses confrères.
- Ayant eu en main le contrat de ce syndic, nous y avons relevé quelques perles et illégalités peu dignes d’un néo-syndic « chevalier blanc ».
- Ce syndic s’étant présenté également comme un syndic transparent, nous lui avons posé (bien poliment) des questions (d’abord) sur certaines illégalités et curiosités juridiques contenues dans son contrat :
_ résultat : silence ; bonjour la transparence.
- Nous avons donc publié notre courrier avec pour objectif de réveiller ce grand « transparent » muet :
_ re-silence, re-bonjour la transparence.
- Ce syndic s’étant par ailleurs aussi présenté comme un syndic « nouvelle génération », nous avons enquêté sur ses actionnaires et avons eu la grande et immense surprise de retrouver (difficilement, d’ailleurs) comme actionnaire le syndic plutôt « vieille génération » qu’est FONCIA, syndic qui a été assez généreux pour débourser plus de 2,5 millions d’euros afin d’aider au début difficile du sympathique et jeune « SYNDIC + » (SYNDIC PLUS).
- Nous en avons fait part à nos adhérents et aux visiteurs de notre site, bien sûr au nom de la transparence qu’affectionne ce néo-syndic.
- Ce syndic ayant demandé (par téléphone puis par écrit) à nous rencontrer, à la suite des révélations sur son actionnaire FONCIA, nous avons naturellement accepté avec empressement. À la suite de cette rencontre, « SYNDIC + » (SYNDIC PLUS) devait :
- modifier son contrat sur certains points et nous l’adresser ;
- modifier d’autres documents entachés d’illégalisme (questionnaire...) et nous les adresser également.
Par ailleurs il devait nous ouvrir la porte de ses locaux pour que nous puissions mieux nous rendre compte des moyens dont il disposait à la disposition des copropriétaires et des méthodes nouvelles mises en place selon lui.
Rendez-vous fut pris. Hélas, Monsieur WINZELLE, PDG de« SYNDIC + » (SYNDIC PLUS) décommanda ce rendez-vous quelques jours avant et ne refixa jamais une nouvelle date, malgré ses promesses (nous avons les mails, rassurez-vous).
Comme on le voit, ce grand transparent est évidemment très spécial. Continuons.
- Des copropriétaires nous ont alors saisis pour nous faire connaitre les problèmes qu’ils rencontraient avec ce syndic si doué pour la communication.
- Là encore nous n‘avons fait que notre travail en répercutant les informations recueillies, dont certaines sont particulièrement préoccupantes (celles, par exemple, concernant l’absence de compte séparé alors que « SYNDIC + » (SYNDIC PLUS) se présente depuis des mois comme le défenseur absolu du compte séparé sans dérogation).
- Alors « acharnement » de la part de l’UNARC ?
Non, l’UNARC et l’ARC ont fait leur travail et ont simplement tenté de rééquilibrer les informations diffusées de façon unilatérale par « SYNDIC + » (SYNDIC PLUS). Pas facile de rééquilibrer une campagne de publicité de plusieurs millions d’euros.
- Nous venons de recevoir à cet égard un droit de réponse hallucinant et qui - à lui seul - va faire l’objet, de notre part, d’un article spécial. Il prouve l’absence de sérieux et même de professionnalisme de ce syndic comme vous pourrez vous en convaincre. Nous y renvoyons. Voir article : « Un droit de réponse qui ne répond à rien ».
- Pour finir, « SYNDIC + » (SYNDIC PLUS) va sans doute tenter de nous impressionner en nous assignant en justice pour diffamation, atteinte à l’honneur de ses dirigeants. C’est un des moyens classiques que choisissent souvent ceux qui essayent ainsi facilement de laisse croire qu’ils sont non pas « coupables », mais victimes. Nous avons l’habitude et cela ne nous impressionne pas. Cela ne trompe, d’ailleurs, pas non plus les copropriétaires.
Que le PDG de« SYNDIC + » (SYNDIC PLUS) lise bien ce qui suit :
- L’ARC est une association représentative de copropriétaires.
- Son objet social n’est pas d’accompagner les campagnes publicitaires, mais de poser des questions en particulier à ceux qui donnent des « leçons » surtout quand ils sont pris la main dans le pot de confiture.
- Il y a deux réactions possibles pour les professionnels concernés :
- répondre, corriger, dans ce cas, et nous en restons là ;
- ignorer, mépriser, nous « amuser » comme l’a fait Monsieur WINZELLE et nous continuons alors à poser nos questions.
Une de nos devises à l’ARC c’est : « On n’enfonce pas un clou avec un seul coup de marteau ».
Si Monsieur WINZELLE ne voulait pas être le clou, il suffisait qu’il réponde à nos questions, justifiées par sa campagne de publicité tonitruante, puis qu’il corrige et ne fuit pas comme il le fait depuis la rencontre qu’il a lui-même sollicitée avec les dirigeants et que nous avions - nous - accepté immédiatement. Il est toujours temps, ceci dit.