Une des fiertés de l’ARC est que nous sommes l’une des rares associations à être totalement indépendante, aussi bien du point de vue économique que politique.
Notre objet social est de défendre, sans compromis, l’intérêt des syndicats des copropriétaires, une cause qui, a priori, ne devrait pas présenter de grandes difficultés.
Et pourtant, l’ARC se bat depuis plus de trente ans pour dénoncer les abus que subissent les copropriétés notamment suite aux pratiques des professionnels et en premier lieu des syndics qui sont en conflit d’intérêts permanents.
En effet, ils sont à la fois les mandataires du syndicat des copropriétaires devant défendre l’intérêt de ce dernier mais également des commerçants qui ont comme clients ces mêmes mandants à savoir la copropriété.
Voilà pourquoi, en définitive, les cabinets préfèrent défendre leurs intérêts économiques même si cela doit léser leurs copropriétés mandantes.
Bien que la réglementation essaye de limiter les abus, les professionnels s’organisent pour trouver de nouvelles failles, désespérant aussi bien les copropriétaires que les conseillers syndicaux.
Les professionnels essayent de minimiser la situation en indiquant que ces pratiques illégales ou abusives sont marginales et que la plupart des syndics respectent la réglementation.
Et pourtant, l’ARC qui n’a pas peur de se faire assigner devant les tribunaux, publie chaque semaine, et ce depuis trente ans, pas moins de deux abus pour dénoncer principalement les agissements des syndics qui préjudicient les copropriétés.
Si les grands groupes sont les plus dénoncés sur notre site, on constate également des petits et moyens cabinets qui sont obligés de les imiter pour faire jeu égal à la concurrence.
Le but de la dénonciation des abus des syndics à travers notre site internet n’est pas forcément de faire du buzz mais d’une part d’épingler le syndic dit professionnel et, d’autre part, d’alerter les copropriétaires sur les risques de se retrouver lésés.
Compte tenu de la persistance des abus, il est temps de passer à une autre étape d’alerte qui se veut à la fois plus sarcastique et pédagogique.
I. « Les Pigeons déchaînés »
Bien souvent le conseil syndical et les copropriétaires sont conscients d’être les pigeons des syndics mais ne savent pas comment réagir.
Et pour cause, lorsque c’est le syndicat des copropriétaires se fait pigeonner par son syndic, seul ce dernier peut les représenter judiciairement pour demander réparation du préjudice.
En parallèle, lorsque le syndic pigeonne les copropriétaires, ces derniers se trouvent démunis pour se défendre.
L’ARC va donc publier une première édition d’un nouveau journal de quatre pages dans le style du journal « Le Canard enchaîné », dans lequel sera mis en exergue : comment les pigeons que sont les syndicats des copropriétaires se déchaînent grâce à l’ARC.
D’ailleurs, le journal sera baptisé : « Les pigeons déchaînés ».
Tout y sera : les noms des syndics, leurs agissements, comment réagir, et bien sur les fameuses illustrations sarcastiques.
Voici la bannière du nouveau journal de l’ARC :
II. Comment se procurer la première édition « Les Pigeons déchainés »
La première édition de ce journal sera distribuée gratuitement avec la revue trimestrielle d’avril 2022.
Pour les non adhérents à l’ARC ou ceux qui ne sont pas abonnés à la revue, ils peuvent se procurer la première édition de ce journal satirique.
Il suffit envoyer un chèque bancaire de 4€ pour recevoir, dès le premier avril, non pas le poisson, mais « le Pigeon déchaîné » directement chez vous.
Il n’y a plus qu’à espérer une longue vie à ce nouveau canard…. pardon, pigeon déchaîné.
« Le Pigeon déchaîné »
