Parmi les services d’assistance proposés par l’ARC il y a celui qui consiste à aider les adhérents (conseil syndical et syndic bénévole) à faire des économies substantielles de charges ce qui a un impact direct sur les appels de fonds des copropriétaires.
A ce titre, nous avons une petite anecdote intéressante d’un président du conseil syndical qui a été en trois minutes chrono convaincu par l’adhésion.
I. Un président du conseil syndical dubitatif face à l’adhésion à l’ARC
Compte tenu de nos nouveaux locaux au 7 rue de Thionville dans le 19ème arrondissement, nous avons de nouvelles visites de conseillers syndicaux de copropriétés avoisinantes.
Eh oui ! Il existe encore certains conseillers syndicaux qui ne nous connaissent pas.
Parmi eux, un président du conseil syndical est venu par curiosité afin de vérifier combien coûte l’adhésion et les services inclus.
Comme toujours, nous le recevons avec le sourire, lui indiquant que l’adhésion annuelle s’élève à 99 euros de base auxquels s’ajoutent 4 euros par lots principaux avec un plafond à 1 000 euros.
Soit pour sa copropriété de 56 lots un coût total de 323 euros qui comprend : des consultations juridiques, comptables et techniques en illimité, l’accès à la zone adhérent du site internet de l’ARC, la revue trimestrielle, les colloques, les formations hebdomadaires, l’accès à la coopérative technique de l’ARC (avec son groupement d’achat) et ses dix sites internet permettant d’assister le conseil syndical dans sa mission.
Malgré cette présentation, le président du conseil syndical est resté dubitatif expliquant d’une part que l’adhésion à l’ARC ne servait que s’il existait des frictions avec le syndic et d’autre part qu’il serait incohérent de payer plus de 300 euros alors que la copropriété souhaite faire baisser ses charges courantes.
II. Un président du conseil syndical convaincu par l’adhésion à l’ARC
A l’ARC, nous ne faisons pas de prosélytisme.
Celui qui veut adhérer est le bienvenu. Mais par hasard, ce même président du conseil syndical était en possession de sa convocation d’assemblée générale.
Le juriste lui a donc demandé de présenter sa convocation.
Passons les résolutions tordues ou illégales.
Ceci étant, nous avons constaté que le syndic demandait de voter l’installation de répartiteurs de frais de chaleur avec la souscription d’un contrat de location à 9 euros par an et par équipement.
Soit, pour cette copropriété qui a en moyenne trois radiateurs par logement (selon les dires du président), un coût de 1 512 euros par an avec un engagement contractuel de dix ans, soit un coût total de 15 120 euros. Oui, quinze mille cent-vingt euros.
Nous lui avons expliqué que conformément à l’article 241-9 du Code de l’énergie et de la construction l’obligation est d’installer un équipement qui détermine la consommation de chaleur ce que ne fait pas un répartiteur qui ne donne qu’un indice.
Le président du conseil syndical a compris trois points importants :
- La copropriété qui voulait faire des économies allait payer 15 000 euros sur dix ans pour rien, avec même des effets pervers…
- L’adhésion à l’ARC est rentable, n’étant pas une dépense mais un investissement pour entre autre être plus efficace dans la gestion de la copropriété et générer de vraies économies.
- Son syndic n’était pas si « clean » que cela, puisqu’il était prêt à soumettre à l’ordre du jour une résolution non conforme aux obligations légales.
Par la suite, le président du conseil syndical s’est engagé à adhérer à l’ARC.
Nous lui avons indiqué que cela concernait le conseil syndical, mais qu’entre temps il pouvait consulter les 6 000 pages de notre site internet pour avoir des informations utiles sur l’ensemble des domaines qui concernent la copropriété.