I. Des copropriétaires de plus en plus « piégés »
Il est de plus en plus de cas où les copropriétaires se retrouvent - malgré eux – en assemblée générale avec UN SEUL candidat syndic professionnel dont ils ne veulent pas.
Exemple :
le syndic sortant « oublie » de mettre à l’ordre du jour le contrat d’un concurrent, comme le lui a pourtant demandé le conseil syndical ou un copropriétaire ;
le syndic de « promotion » convoque l’assemblée générale avec UN seul contrat, le sien ;
l’administrateur judiciaire du syndic (suite à faillite ou autre) convoque, lui aussi, avec UN seul contrat : celui du repreneur, etc.
Ces situations sont proprement intolérables, d’autant que les copropriétaires qui se « permettent » de protester ont, en plus, droit - au cours de l’assemblée générale - à un fort désagréable « chantage ».
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