La GIEP et l’ARC. Retour sur les nombreux articles publiés sur notre site

12/12/2013 Actions Action

La GIEP et l’ARC.
Retour sur les nombreux articles publiés sur notre site
 
La GIEP est un « moyen » syndic qui s’est construit à partir d’un cabinet situé à TORCY par rachat de divers cabinets.
 
Nous avons longtemps entretenu de bonnes relations avec ce cabinet et son dirigeant fondateur.
 
Les choses se sont un peu gâtées lorsque le fondateur a pris sa retraite et que la société s’est développée par rachat de cabinets.
 
Nous et certains adhérents avons eu quelques expériences malheureuses, dont celle du Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois qui a été « géré » par la GIEP à la faible satisfaction de nos adhérents, le conseil syndical des copropriétaires concernés.
 
Par ailleurs, il est apparu que la GIEP jouait volontiers les syndics de promotion et nous l’avons « épinglé » sur quelques pratiques singulières, pour rester poli, repérées dans ce cadre.
 
Nous faisons de temps en temps des articles sur les problèmes rencontrés avec la GIEP comme avec beaucoup d’autres syndics.
 
Les dirigeants actuels de la GIEP ont décidé de nous adresser - à chaque fois - des « droits de réponse ». Ces droits de réponse ne répondent le plus souvent pas aux problèmes soulevés ou de façon partiellement inexactes. Parfois ils nous donnent même partiellement raison. C’est pourquoi nous avons le plus souvent décidé de ne pas les publier en donnant à leur auteur (l’actuel président de la GIEP) des explications détaillées sur notre position justifiée.
 
Récemment la GIEP a décidé de saisir le tribunal pour nous obliger à publier ces droits de réponse. Le tribunal a suivi la GIEP dans ses demandes (obligation de publier) et nous allons donc :
 
  • publier à la suite de chacun de nos abus le droit de réponse de la GIEP ;
  • publier à chaque fois notre réponse à cette réponse.
 
C’est un peu lassant et ça n’a pas beaucoup d’intérêt pour les copropriétaires, mais nous n’avons pas le choix. Par ailleurs cela a l’effet inverse de ce que cherche la GIEP : enfoncer le doigt là où ça fait mal. Comprenne qui pourra.
 
Nous allons donc, à partir de la semaine prochaine :
 
  1. redonner la liste des articles publiés par l’ARC sur la GIEP ;
  2. publier à la suite de chacun de nos articles la réponse de la GIEP ;
  3. publier notre première réponse à la GIEP justifiant notre position de refus de publication ;
  4. enfin publier, éventuellement, la suite de notre réponse (qui confirme le bien fondé de notre première réponse).
 
Ouf !
 
 
 
 
Nous vous invitons d’ailleurs à suivre le dernier feuilleton ARC-GIEP : « DROIT-de-réponse-à- rien » à propos d’une affaire où une fois de plus la GIEP avait répondu à côté par le déni et qui vient de se traduire pour elle par le vote unanime de l’engagement d’une double procédure judiciaire à son encontre. Voir : « La GIEP et le refus d’assumer ses erreurs (suite de la suite) ».
 
 
Nous avons reçu un droit de réponse de la GIEP le 6 février que nous publions ci-dessous. À la suite de quoi, nous publions notre propre réponse.
 
La GIEP et l’ARC. Retour…. 12 décembre
 
DROIT DE RÉPONSE DE GIEP
 
« Contrairement à ce que vous affirmez au début de votre article intitulé "La GIEP et l'ARC, retour sur les nombreux articles publiés sur notre site", GIEP ne s'est pas "développée par rachat de cabinets". À la lecture de votre article, cette affirmation en apparence neutre apparaît comme peu bienveillante puisque vous la mettez en lien avec le fait que selon vous les choses se seraient "gâtées". Or elle est inexacte. Depuis 1979 notre société a connu une croissance essentiellement interne. Seules deux agences du groupe ont été intégrées par rachat. Sur l'ensemble des lots gérés aujourd'hui par GIEP, un dixième environ provient de rachats de clientèle. La part de ces rachats et donc nettement minoritaire dans notre développement, contrairement à ce que vous suggérez. Pour le reste, vous rappelez vous même le jugement du tribunal de grande instance de Paris qui a condamné l'ARC à publier des droits de réponse de GIEP. Répondre dans les formes légales à un article qui vous met en cause est un droit ».
 
 
Voilà bien la GIEP : elle ne répond à rien et en profite pour faire sa publicité.
La GIEP a racheté des cabinets. Point.
C’est ce que nous disions.
Utiliser le « droit de réponse » pour cela, démontre plutôt la fragilité de la GIEP que sa force.
Ce qui est plus intéressant c’est que la GIEP ne répond pas au reste de notre article (expérience malheureuse de nos adhérents du Chêne Pointu ; problèmes posés par la GIEP comme syndic de promotion), ce qui en confirme le bien-fondé… Merci la GIEP.