L’ARC a un point commun avec le journal « le Canard enchainé » qui est que nous dénonçons, chacun dans son domaine les abus d’une manière sérieuse, mais parfois avec une plume légèrement trempée dans l’acide.
En ce qui concerne l’ARC, cela n’est pas fortuit et se justifie par le fait que les copropriétaires sont bien souvent les pigeons des syndics devant, entre autres, par notre intermédiaire, se défendre.
D’ailleurs, l’ARC devrait sortir un journal qui s’intitulerait « Les Pigeons déchaînés » et d’ailleurs prend date pour une prochaine parution.
Ceci étant dit, la semaine dernière le Canard enchaîné a repris un communiqué de presse de l’ARC qui dénonçait : « Comment certains syndics se ont gavé, non pas le canard, mais leurs bourses en cette période Covid-19 ».
Avant de présenter nos commentaires, nous reproduisons intégralement le communiqué de presse publié dans le Canard enchaîné du 8 décembre 2021.
I – Des syndics pris en flagrant délit
II – Des syndics professionnels immatures
Il faut bien le comprendre, lors de la publication du communiqué de presse beaucoup de professionnels de l’immobilier ont réagi en infirmant qu’il s’agissait d’une calomnie de l’ARC étant, comme toujours, irréprochable.
Mais voilà, la situation s’est largement compliquée pour eux car l’ARC n’affirme jamais rien sans preuves.
Ainsi, après que la répression des fraudes ait pu constater les faits, elle a diligenté une enquête.
Certains syndics épinglés ont affirmé avoir remboursé les factures illégales, ce que nous doutons, tandis que d’autres ont préféré ne pas répondre car il n’y avait tout simplement pas de réponse qui pouvait justifier leurs agissements abusifs voire illégaux.
En attendant, certains syndics et chambres professionnelles demandent aux pouvoirs publics de revenir sur les assemblées générales 100% par correspondance pour commettre leur mêmes méfaits, pendant que eux, ont tenu leurs colloques et congrès en présentiel avec des salles bondées de professionnels de l’immobilier.
Surement que le Covid s’est arrêté aux portes de leurs salons mais pas de celles des assemblées générales des copropriétaires.
Nous dédirons un article spécifique pour indiquer comment recevoir le prochain journal « Les pigeons déchainés » conçu par l’ARC.