Bien souvent, pour camoufler les abus voire les illégalités commises par les syndics professionnels que l’on dénonce à travers notre site internet, ils affirment que notre seul but est de faire du « bashing syndic ».
Grâce à ce procédé, ils essayent d’étouffer les affaires et de détourner la vigilance du conseil syndical et des pouvoirs publics.
Heureusement, cela ne fonctionne pas car aussi bien les professionnels, les politiques que les conseillers syndicaux savent pertinemment que les abus et illégalités sont bien présents et surtout sont extrêmement graves.
A ce titre, nous avons dénoncé à maintes reprises la pratique du faux pré-état daté qui est facturé souvent plus cher que le tarif plafonné de l’état daté facturé à 380 € TTC.
Pour se justifier, les syndics affirment avoir un long travail à effectuer pour établir, au nom du copropriétaire vendeur, ce fameux faux pré-état daté.
Comme toujours, il existe deux versions : celle des professionnels qui affirment pouvoir justifier leurs honoraires, et celle de l’ARC Nationale qui indique que si les syndics doivent gagner leur vie, cela ne justifie pas qu’ils utilisent leur monopole pour abuser sur les tarifs.
Alors, qui a raison ?
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