Au cours des 35 ans d’existence de l’ARC, plusieurs moyens de communication ont été développés pour permettre en priorité aux conseillers syndicaux, syndics non professionnels et copropriétaires, de connaître leurs droits.
Pour cela, nous avons notre fameux site internet dans lequel chaque semaine dix nouveaux articles sont publiés, notre revue trimestrielle composée de 48 pages en couleur avec 100 % de contenu, notre librairie qui compte pas moins de 50 titres différents et nos manifestations telles que le salon annuel qui se déroulera cette année les 18 e 19 octobre.
A cela s’ajoutent les consultations, les formations, les plateformes internet d’aide à la gestion réservées uniquement à nos adhérents. Bref, une multitude de supports dont la liste est encore longue.
L’ARC a souhaité renforcer son arsenal en publiant une gazette sarcastique, baptisée « Le Pigeon déchainé ».
Voyons de quoi il s’agit.
I – Un concept ARCien
L’une des forces de l’ARC est son indépendance politique et financière qui lui permet de dénoncer, sans crainte de représailles, les dérives, abus et illégalités des professionnels et en premier lieu des syndics.
Pour cela, nous avons une rubrique « Abus » sur notre site internet.
Mas en parallèle, a été publié un journal, inspiré du « Canard enchainé » qui met en scène l’aberration de certains agissements de professionnels à travers nos dessins humoristiques et surtout la rédaction d’articles trempés, il faut le reconnaitre, « dans l’acide » enrobé de fleurs.
Ce journal s’intitule « Les Pigeons déchainés » qui sont en fait les syndicats de copropriétaires qui se font souvent pigeonner par leurs syndics et qui, grâce à l’ARC et au journal, se déchainent non seulement en balançant les abus des syndics mais également en s’émancipant de leurs pratiques.
II – Comment se le procurer ?
Le journal est remis gratuitement avec la revue trimestrielle de l’ARC.
Pour ceux qui souhaiteraient en avoir copie ou tout seulement se le procurer, il suffit d’envoyer un chèque de 2 € à l’ARC, en indiquant vos coordonnées civiles ou postales.
Rassurez-vous, même les syndics professionnels peuvent se le procurer car, nous le savons bien, même s’ils nous critiquent, ils nous scrutent par le trou de la serrure pour lire et suivre l’ensemble de nos informations.
Pour les curieux, voici la première page du 6ème numéro des « Pigeons déchainés ».
Bonne lecture et faites-vous plaisir !