Lorsque la basse-cour plébiscite le nouveau « canard » de l’ARC : « Les pigeons déchaînés ».

01/04/2022 Actu

L’une des forces de l’ARC est son indépendance politique et financière nous permettant entre autre une liberté d’expression pour dénoncer les entourloupes des professionnels et en premier lieu des cabinets ou groupes d’administration de biens.

Généralement, nous utilisons notre revue trimestrielle et surtout notre site internet pour publier chaque semaine les abus relevés.

Cela ne fait pas plaisir aux syndics professionnels qui regrettent non pas leurs agissements mais le fait que l’ARC mette sur la place publique les dérives voire les illégalités du syndic ou du groupe qui à longueur de journée communique pour se présenter comme « le net plus ultra ».

A travers les abus publiés, l’objectif de l’ARC est de mettre en évidence le désarroi d’un certain nombre de conseillers syndicaux et copropriétaires qui ne comprennent pas comment un syndic professionnel détenteur d’une carte de gestion et parfois même adhérent auprès d’une chambre professionnelle peut se permettre de commettre autant d’abus qui mettent en porte à faux ou qui lèsent le syndicat de copropriétaires.

A travers un nouveau journal publié par l’ARC nous abordons ce phénomène mais de manière plus sarcastique tout en traitant les sujets au fond.

Expliquons de manière poétique la situation et pourquoi parfois le conseil syndical et le syndic sont chiens et chats. 

I. L’ADN des pigeon dechaînés

En cette période de poisson d’Avril, l’ARC a souhaité publier un nouveau canard qui s’intitule « les pigeons déchaînés ».

L’objectif est d’expliquer en premier lieu à certains syndics vautours que les syndicats de copropriétaires ne sont ni des vaches à lait ni des pigeons mais bien des mandants qui attendent une gestion de qualité de leur copropriété.

Et pourtant, certains syndics professionnels se croient rusés comme un renard et pensent que le conseil syndical va se jeter dans la gueule du loup en acceptant les dérives de son syndic sans les contester.

  • Quel conseiller syndical n’a pas eu un mal de chien pour récupérer les documents de la copropriété auprès de son syndic qui aussi franc qu’un âne qui recule explique pourquoi il ne peut pas les remettre ?
  • Quel copropriétaire n’a pas eu un engagement de son syndic à rembourser les frais indus de recouvrement en payant en monnaie de singe ?
  • Qui n’a jamais entendu une explication fumeuse d’un syndic qui n’a que pour but de noyer le poisson ?

Voilà pourquoi, il n’est plus temps au conseil syndical d’être doux comme un agneau, mais bien de prendre avec l’ARC, le taureau par les cornes en dénonçant les abus ouvertement commis.

Alors on le sait, il ne faut pas mettre tous les syndics professionnels dans le même panier. Néanmoins, les chiens ne font pas des chats et certains syndics ou groupes sont connus comme le loup blanc pour leurs agissements illégaux qui lèsent les copropriétés.

Pour certains syndics, ce climat délétère est à cause de l’ARC. Et oui, il faut trouver un bouc émissaire et bien sûr c’est l’ARC. C’est évidemment l’ARC qui commet les abus, et prend des vessies pour des lanternes.

Face à cette faune, l’ARC publie son nouveau journal « les pigeons déchaînés ».

Tout y sera : les noms des syndics, leurs agissements, comment réagir, et bien sûr les fameuses illustrations sarcastiques…

II. Comment se procurer la première édition « Les Pigeons déchaînés »

La première édition de ce journal sera distribuée gratuitement avec la revue trimestrielle d’avril 2022.

Pour les non adhérents à l’ARC ou ceux qui ne sont pas abonnés à la revue, ils peuvent se procurer la première édition de ce journal satirique.

Il suffit d’envoyer un chèque bancaire de 4€ pour recevoir, dès le premier avril, non pas le poisson, mais « le Pigeon déchaîné » directement chez vous.

Il n’y a plus qu’à espérer une longue vie à ce nouveau canard…. pardon, pigeon déchaîné.

 « Le Pigeon déchaîné »

https://arc-copro.fr/sites/default/files/wysiwyg/BON%20DE%20COMMANDE.PNG

Voici l'extrait de la première page 

azerty