Mais pourquoi l’ARC n’a-t-elle que trois étoiles sur cinq sur les avis Google ?

09/05/2022 Actions Action

Nous constatons un phénomène tout à fait atypique et intéressant au cours de ces derniers mois concernant notre association.

Il s’agit des « soudaines mauvaises notes » mises sur le moteur de recherche Google lorsque l’on tape « ARC ».

Ainsi, lorsque sur les réseaux sociaux, tel que Facebook, nous sommes notés 4,5/5, que la dernière étude interne réalisée présente un taux de satisfaction des adhérents de 98 %, nous pouvons lire sur les avis Google des commentaires lamentables à la limite de s’interroger si les professionnels de l’ARC sont bien des juristes, des comptables et des architectes ou des mécaniciens Playmobil.

Plus intéressant, nous avons à présent des copropriétaires qui nous appellent en nous indiquant qu’ils souhaiteraient adhérer à l’ARC mais qu’au vu des commentaires, ils abandonnent.

Un comportement qui nous semble peu logique, sachant que lorsqu’un usager lit un avis défavorable sur un restaurant ou un hôtel, il ne va pas ensuite les appeler pour leur indiquer qu’ils ne réserveront pas de chambre ou de table.

Alors, essayons de comprendre la véritable situation qui est trop grossière pour être réelle.

I – Des avis pilotés

Nous ne sommes pas dupes.

La plupart des avis sur Google sont pilotés par différentes structures ou influenceurs qui ont pour but soit de descendre soit de valoriser des sociétés.

En ce qui nous concerne, nos opposants sont nombreux, ce qui est tout à notre honneur.

Nous avons, bien entendu, les grands groupes de syndics, leurs filiales, mais également, à présent, des startups qui vendent du rêve aux copropriétaires et aux syndics non professionnels, que nous dénonçons.

Le plus risible est qu’après avoir procédé à des recherches sur les auteurs de ces avis négatifs, on s’aperçoit qu’il s’agit de personnes qui habitent dans les pays de l'Est et qui ont soudainement appelé l’ARC  « pour avoir une consultation avant d’adhérer, mais que la réponse les a laissés perplexes, ne leur donnant pas envie d’adhérer ».

Le seul problème est que les consultations de l’ARC  ne sont réservées qu’aux adhérents, ne permettant pas d’obtenir de réponse avant d’adhérer.

Bref, une manipulation qui est un moyen comme un autre d’essayer de discréditer la réelle efficacité de l’ARC qui ne mise pas sur des campagnes publicitaires coûteuses diffusées sur les chaînes de télévision ou dans les bouches de métro, mais uniquement par le bouche à oreille.

Face à cette démagogie, nous pourrions demander à tous nos adhérents de publier un avis positif afin de contrebalancer cette cabale.

Néanmoins, nous savons que nos principaux ambassadeurs ne sont pas forcément ceux qui mettent ou enlèvent des étoiles sur Google mais ceux qui sont sur le terrain de la copropriété et qui connaissent notre sérieux et implication auprès des syndicats de copropriété.

II – Goûter avant d’acheter…

En parallèle des seules trois étoiles que nous obtenons, nous avons des startups et autres cabinets de syndics qui, malgré les abus et insatisfactions grandissantes des copropriétaires, arrivent à avoir cinq étoiles sur cinq, avec des commentaires élogieux.

Autrement dit, tous les usagers sans exception sont emballés par l’activité de ces sociétés, n’ayant aucun reproche à leur faire même si, en parallèle, l’ARC reçoit d’innombrables abus les concernant.

La réalité est que derrière ces avis positifs se cache une manipulation de communication qui consiste à solliciter l’entourage direct ou indirect de ces sociétés afin qu’elles émettent des commentaires complaisants sans grande conviction.

Mais après tout, cela peut être une argutie de l’ARC pour se défausser.

C’est pour cela que nous proposons aux conseils syndicaux et aux syndics non professionnels sceptiques de bénéficier d’une consultation de trois quarts d’heure avec un expert de l’ARC pour un cout de 24€ avant d’adhérer.

Pour cela, il suffit de contacter l’ARC au 01.40.30.12.82 et prendre un rendez-vous. Le règlement se fera sur place, soit par chèque soit par carte de paiement.

A la suite de cette consultation le conseil syndical pourra décider s’il est opportun d’adhérer.