Nos adhérents sont formidables : histoire de maintenance d'ascenseurs et d'assurance dommage-ouvrage
Voici un petit retour d’expérience sur deux dossiers traités par un président syndic de syndicat coopératif adhérent à l’ARC.
« Bonjour Monsieur J.......,
Adhérents de l’ARC, nous vous faisons retour de deux expériences récentes :
1 – Maintenance ascenseur :
Nous vous avions déjà parlé du précontentieux qui existait entre notre
syndicat et la société Koné, notamment en ce qui concernait le non-respect
quasi systématique du délai maximal de 6 semaines entre 2 interventions de
maintenance courante.
Après une A.GE unanime, nous avons résilié le contrat avec Koné au
31/12/2012 en utilisant le L 136-1 à titre principal et, à titre
accessoire, en rappelant les très multiples incidents de parcours.
31/12/2012 en utilisant le L 136-1 à titre principal et, à titre
accessoire, en rappelant les très multiples incidents de parcours.
KONE a bien essayé de nous renvoyer vers la clause incluse systématiquement dans chaque facture de Koné, clause qui rappelle de façon imprécise et non adaptée à chaque contrat cet article du Code de la Consommation.
Cette clause, abusive, comme vous l’avez démontré dans votre abus numéro 3149, ne pouvant jouer, et après un entretien orageux de la chef de centre Koné, nous avons reçu de Koné l’acceptation de cette résiliation.
À titre d’information, nous avons retenu une société référencée par l’ARC pour reprendre la maintenance. Entre autres différences, ce nouveau contrat nous coûtera environ 1 200 € de moins par an…
Pièces jointes : notre courrier de résiliation, la réponse de Koné et la clause abusive des factures
2 – Assurance Dommage-Ouvrage avec AXA :
Là aussi, nous avions travaillé ce dossier ensemble. Concernant une infiltration récurrente en terrasse qui dure depuis 2007, AXA avait refusé la poursuite de la prise en charge après la fin de la DO en arguant des 2 ans maxima après ce délai.
Nous avions contesté cette interprétation et le rejet. AXA a finalement
désigné un expert qui a confirmé que le sinistre perdurait et nous a demandé de faire chiffrer la reprise de l’acrotère par une entreprise. In fine AXA a accepté de prendre en charge à nouveau les travaux.
Pièces jointes : refus d’AXA, contestation du rejet, accord d’AXA.
Voilà les dernières informations de notre Syndicat.
Deux conclusions :
1 – merci à l’ARC pour son soutien ;
2 – rien ne vaut une gestion directe d’une copropriété sous réserve qu’elle ne soit pas trop grande et que les copropriétaires soient solidaires.
Jean-Paul P...... Président-syndic ».