SOGICO (Syndic à Montpellier) : l’ARC avait bien raison ; SOGICO a facturé des honoraires fantaisistes à tort pour combler ses fins de mois. Nouveau témoignage

28/11/2013 Dossiers conseils Conseil

SOGICO (Syndic à Montpellier) : l’ARC avait bien raison ; SOGICO a facturé des honoraires fantaisistes à tort pour combler ses fins de mois. Nouveau témoignage
 
 
I - Retour sur l’abus n° 3495 (voir : www.unarc.fr/ggk7 )
 
Nous vous conseillons vivement la lecture ou relecture de cet abus incroyable où un syndic a été pris les doigts dans le pot de confiture des copropriétés qu’il gère, en facturant de multiples et petits honoraires ne correspondant à RIEN, en espérant que personne ne le verrait.
 
II - Des futurs adhérents qui se rembourseront déjà leur adhésion grâce à nos conseils
 
Voici, en effet, le mail sympathique reçu d’un conseil syndical qui a donc décidé d’adhérer (merci à ces futurs adhérents). A propos, chers copropriétaires - encore non adhérents - qui venez lire chaque semaine nos conseils n’oubliez pas que l’ARC doit son indépendance, donc sa force, donc ses succès uniquement à ses adhérents et qu’il n’est pas anormal quand on apprécie le travail d’une association d’accomplir son devoir associatif qui est, tout simplement, d’adhérer.
 
III - Voici le mail du conseil syndical « futur » adhérent.
 
« Bonjour,

Suite à votre intéressant article ABUS 3495 SOGICO, nous venons de réaliser la vérification des comptes (ceux-ci nous ont pris 3 fois plus de temps qu'à l'habitude car nous avons été surement plus suspicieux et attentifs....) et avons récupéré pas mal d’honoraires (…).
 
Nous avons pu nous aussi constater ces "erreurs" et (votre article à l'appui) avons pu faire rétrocéder ou annuler divers honoraires fantaisistes représentant plus de 4.000 €.
 
Plus quelques autres diverses « anomalies »…

Nous avons évidemment décidé d'adhérer à l'ARC, avec l'aval favorable de notre nouvelle Gestionnaire, qui, elle nous semble plus que correcte et honnête.
 
Encore  merci ».
 
Merci à ces copropriétaires reconnaissants, à qui nous souhaitons bonne route avec leur nouvelle gestionnaire (pauvres gestionnaires qui - nous disent-ils - sont de plus en plus agacés et parfois scandalisés d’avoir à appliquer des consignes « maison » qu’ils réprouvent).
 
 

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