Un cri d’alerte d’un de nos lecteurs : La RATP et certains couloirs du métro parisien

16/05/2013 Actions Action

Un cri d’alerte d’un de nos lecteurs :

 La RATP et certains couloirs du métro parisien

 
 
Voici le curieux mail que nous avons reçu d’un habitué de notre site Internet.
 
Nos adhérents d’Ile-de-France fréquentant assidument le métro parisien, nous nous faisons un plaisir de publier ce mail qui n’a rien à voir avec la copropriété, encore que... Vous allez voir.
 
 
« Monsieur le Président,
 
Ne sachant plus quoi faire et ayant pu apprécier l’efficacité de votre site, je me permets ce mail, en espérant qu’un responsable de la RATP au moins est copropriétaire et fréquente votre site.
 
Le problème que je vis est le suivant. Deux fois par jour, je passe par un couloir de métro qui permet - par les ascenseurs - de joindre la station Auber (RER) aux quais du métro qui correspondent à la ligne 3 Levallois-Gallieni, celle sui justement dessert vos locaux.
 
Ce couloir et ces ascenseurs sont empruntés chaque jour par des dizaines de milliers de personnes.
 
Or ces couloirs servent en permanence (matin ; midi ; après-midi ; soir) de dortoirs à quelques SDF qui semblent y camper tout en se fichant un peu de la tête de nous autres braves utilisateurs. C’est une infection permanente au niveau des odeurs, pour ne pas parler d’autre chose.
 
Tous ceux qui empruntent ces couloirs (certainement pas les gens de la RATP) et ces ascenseurs se bouchent le nez, sont très gênés et je vous assure que - comme moi - il s’agit à 80 % de simples employé(e)s ou ouvriers.
 
Je suis honteux, car de nombreux étrangers empruntent aussi ce couloir et ses ascenseurs et ils montrent des têtes ahuries.
 
Je ne veux pas empêcher les SDF d’occuper des couloirs discrets... Mais pourquoi laisser ces trois ou quatre hommes (couchés la plupart du temps) rendre encore plus pénible ainsi un voyage qui n’est déjà pas ce qu’on fait de plus réjouissant ?
 
Merci de bien vouloir envisager de publier ce simple témoignage, bouteille à la mer. Cela me fait déjà du bien rien que d’en parler.
 
Bien cordialement ».
 

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