VALEURS ACTUELLES et l’Observatoire des charges de l’UNARC

10/01/2013 Actions Action

VALEURS ACTUELLES et l’Observatoire des charges de l’UNARC

Le très sérieux journal VALEURS ACTUELLES revient sur la hausse des charges et notre Observatoire des charges.
 
Rappelons à tous qu’il est possible de faire baiser ses charges de 10 à 15 % (et même plus), surtout si vous utilisez les outils gratuits mis à disposition de nos adhérents collectifs (voir plus loin).
 
I. L’article de VALEURS ACTUELLES
 
« Où s’arrêtera la hausse des charges ?
Les charges de copropriété ont augmenté de 5% entre  2010 et 2011 sous l'effet, entre autres, des hausses de dépenses de chauffage et des honoraires des syndics. L'Association des responsables de copropriété (Arc) tire la sonnette d'alarme.
 
L'inflation est galopante. Selon l'observatoire des charges de l'Arc (Association des responsables de copropriété), la note des copropriétaires a augmenté de plus de 4 % pour la quatrième année consécutive. « Pour la période allant de 2007 à 2011, cela représente une augmentation proche de 20 %. Et aucune rupture ne semble se dessiner à court terme », estime Claude Pouey, responsable de l'observatoire des charges de l'Arc. A Paris, ville la plus chère pour les propriétaires, les charges annuelles pour une copropriété dotée de tous les services (chauffage, entretien, gardien, eau froide, frais de syndic, ascenseur, assurance...) représentent 48,40 euros par mètre carré, soit 10 % de plus que dans le reste de l'Île-de-France. En province, la note est limitée à 37,50 euros par mètre carré par an. Pour un appartement de 65 mètres carrés, il faut débourser en moyenne 2 825 euros, dont 1 070 euros pour l'entretien et le personnel et 920 euros pour le chauffage.
 
En hausse de 5 % sur un an, les frais de syndic représentent désormais près de 10 % des charges moyennes. « Non seulement, les syndics ont continué d'augmenter leurs honoraires de base de 3 %, mais ils facturent de plus en plus de prestations particulières », poursuit Claude Pouey. L'arrêté Novelli du 19 mars 2010 (qui a intégré une liste de 44 services dans les prestations courantes en vue de limiter les facturations abusives) n'a eu aucun effet, les syndics continuant de facturer au-delà de leur forfait.
 
Plus grave, sur quatre ans, l'Arc observe une «forte augmentation des procédures judiciaires, les dépenses facturées représentant dans certaines copropriétés la moitié des frais de gestion ».
 
Malgré un hiver peu rigoureux, les dépenses de chauffage ont augmenté de 8 %, dans le sillage de la hausse des prix du gaz et du fioul. Autant dire que la loi Grenelle de l'environnement, qui a obligé la profession à mettre en place un dispositif de réduction des consommations énergétiques des bâtiments, n'a pas encore donné ses fruits.
Marie de  Greef-Madelin ».
 
 
Rappelons que notre Observatoire s’appelle OSCAR et qu’il intègre un outil qui est un « comparateur de charges » permettant de détecter les anomalies.
 
II. « La boîte à outils de la maîtrise des charges »
 
Et maintenant ? pour faire baisser vos charges, voici le sommaire de notre guide gratuit : « La boîte à outils de la maîtrise des charges » :
 
« I. Pourquoi ET COMMENT mettre en œuvre un plan volontariste de réduction et de maîtrise des charges de copropriété ?
 
II. Quels sont les documents à exploiter ?
 
III. COPRO-AUDIT : Comment évaluer la performance financière de votre copropriété ?
 
IV. OSCAR+ : Comment comparer vos charges de copropriété avec celles des autres copropriétés ?
 
V. OSCAR+ : Comment évaluer la performance économique de vos contrats annuels ?
 
VI. COPRO-DEVIS : Comment mettre en concurrence les entreprises prestataires ?
 
VII. UNARCOM et COPRO-NET : Comment partager votre expérience avec d’autres responsables de copropriété ou au sein de votre copropriété ?
 
VIII. SITE DE L’UNARC : Comment enrichir vos connaissances en s’appropriant les informations diffusées sur le site (zone « adhérents » ou non) ? 
 
IX. GUIDES ET CAHIERS DE L’ARC : Comment développer votre méthode d’analyse des charges de votre copropriété ?
 
X. Conclusions »