La philosophie de l’ARC est claire : défendre et promouvoir le bon fonctionnement et l’amélioration de la gestion des copropriétés.
Pour cela, nous dénonçons certes les abus des professionnels et en premier lieu des syndics, mais nous sommes aussi force de proposition pour améliorer les dispositions légales et règlementaires liées au domaine de la copropriété.
Plus encore, nous préconisons à nos adhérents, qui sont en majorités des conseillers syndicaux et des syndics bénévoles, des recommandations pour assurer de manière efficace leur mission.
Ainsi, même si nous sommes présentés par les syndics comme la « bête noire » à abattre, chacun sait, y compris eux-mêmes, que nous faisons un travail sérieux, qui les met certes souvent en porte-à-faux, mais qui est basé sur des argumentaires et de démonstrations fondés à partir d’éléments concrets et vérifiables.
D’ailleurs, il est intéressant de constater que dans les divers salons et colloques, les chambres professionnelles invitent les autres associations, sauf l’ARC, évitant ainsi d’être mis en difficulté sur des sujets de fond.
Et pourtant, à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.
D’ailleurs, nous sommes fiers de constater qu’au final, certains syndics professionnels, les ministères ou les parlementaires entendent nos analyses et nous recommandent même auprès des copropriétaires.
I. Un syndic qui recommande l’ARC
Parmi nos adhérents, dits « individuels » qui souhaitent bénéficier de la revue trimestrielle ou de conseils personnels, nous avons de nombreux syndics professionnels qui souhaitent bénéficier de nos conseils juridiques, techniques ou comptables.
Certains ne se cachent pas tandis que d’autres se font passer pour de simples copropriétaires, mais sont rapidement identifiés, sachant qu’ils posent des questions très techniques qui concernent plus un gestionnaire de copropriété.
Ceci étant, nous leur répondons, car derrière cette demande se trouve une copropriété qui a une difficulté.
Ce qui est troublant est qu’apparemment ces syndics ne trouvent pas leur compte en adhérant à une chambre professionnelle et préfèrent adhérer chez nous.
Ils sont les bienvenus à partir du moment où ils sont honnêtes.
A ce titre, voyons le mail sympathique d’un syndic professionnel :
« Parmi mes clients et futures clients, un certain nombre sont adhérents à l'ARC.
J'encourage moi-même certaines personnes que je vois à adhérer à l'ARC.
Et je suis abonnée à votre revue à titre personnel. »
Eh oui ! Ils existent ! Nous lui souhaitons une grande réussite et surtout de ne pas faire comme les syndics financiers, dès qu’ils prennent du volume, ils tournent vers la force obscure.
En parallèle des syndics, nous avons aussi des ministères qui nous recommandent.
II. Le ministère de la cohésion des territoires recommande l’ARC
Lors de nos consultations officielles ou officieuses auprès des ministères, nous essayons d’être pédagogues afin d’exposer les difficultés rencontrées par les syndicats des copropriétaires ou conseillers syndicaux afin de justifier notre demande d’évolution des textes.
Ainsi, notre discours est clair et audible par le gouvernement.
Il semble que cela soit compris par le gouvernement, puisqu’à travers un courrier officiel envoyé à un copropriétaire, le ministère du Logement et de l’habitat Durable a recommandé l’ANIL, ce qui est normal puisque celui-ci siège à son conseil d’administration, mais aussi notre association, qui rappelons-le est indépendante de toute institution et de l’état, puisque nous ne bénéficions d’aucune subvention.
Nous sommes fiers de constater que les instances publiques considèrent l’ARC comme une véritable association « d’utilité publique » qui peut apporter aux copropriétaires de réels conseils utiles.
Voici donc le courrier envoyé :
Rappelons qu’à présent, l’ARC se situe au 7 rue de Thionville.