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Ville de Paris et atelier « Planète Copropriété » sur la Copropriété et la « biodiversité » : rendez-vous le 22 mai

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Ville de Paris et atelier «Planète Copropriété» sur la Copropriété et la « biodiversité : rendez-vous le 22 mai 

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Depuis quelques mois, l’association Planète Copropriété - association d'acteurs de la rénovation énergétique et de spécialistes des problèmes de gouvernance en copropriété, dont l’ARC est un des membres fondateur - s’est dotée d’un groupe de travail dit  "Copropriété Biodiversité".
Le but de ce groupe de travail est de favoriser des interventions cohérentes et généralistes, en saisissant l’opportunité de  l’adaptation des immeubles en site urbain dense aux exigences thermiques pour favoriser le développement de la nature en ville, s’adapter au  développement durable, favoriser la biodiversité.
 
Les travaux de ce groupe de travail seront dévoilés lors d’un colloque organisé avec la Ville de Paris :
 
le mercredi 22 mai 2013 à la Maison des Acteurs du Paris Durable,
21 Rue des Blancs Manteaux 75004 Paris,
de 9h30 à 11h30 (Entrée libre).
 
Ce colloque sera consacré à l'élaboration et au suivi des "PLANS BIODIVERSITE" dans les copropriétés.
 
En effet, la Ville de Paris s'est doté d'un PLAN BIODIVERSITE et souhaite collaborer avec les copropriétés privées pour leur faire part :
  • de ses réalisations sur les jardins et espaces verts publics pour conserver  et améliorer le bénéfice de la biodiversité, ainsi que de ses aides possibles pour entretenir les jardins parties communes ou les balcons des copropriétés et conseiller ainsi pour favoriser la biodiversité en ville ;
  • de la plantation des espèces favorables à l'interaction faune et flore recommandées par la Ville de Paris (Maison Paris Nature), économiser l'eau, privilégier les engrais naturels, revaloriser les déchets verts, permettre le développement d'une faune protégée, etc. (ce sont, les grandes lignes d'une charte biodiversité pour les copropriétés qui sera commentée dans ce colloque qui laissera place au débat avec la salle).
  • Une importante copropriété parisienne viendra parler de son "PLAN BIODIVERSITE" réalisé avec l'aide de la Ville.
  • Enfin, le groupe de travail "Copropriété Biodiversité" de Planète Copropriété présentera dans ses grandes lignes, son projet de "GUIDE BIODIVERSITE COPROPRIETE" à l'usage des syndics, conseillers syndicaux et copropriétaires. 
C'est par le plaisir lié au végétal que Planète Copropriété veut mobiliser les copropriétaires vers le respect de l'environnement et les économies de ressources que sont l'eau, le sol, l'énergie, et la valorisation des déchets végétaux tout en favorisant la biodiversité, et les économies permettant de réduire les coûts d'entretien du jardin et des espaces verts de la copropriété. 
 

L’ARC et le numéro 500 de JURIShebdo

Événements
 L’ARC et le numéro 500 de JURIShebdo
 
 
Pour son numéro 500, la revue JURIShebdo - revue spécialisée en droit immobilier - a demandé à quinze personnalités ou organisations nationales d’écrire un article sur la situation actuelle de leur secteur et les perspectives. Sur ces quinze organisations, une seule représente le monde de la copropriété : l’ARC.
 
Voici l’article que nous avons rédigé et adressé au rédacteur en chef de cette revue et qui vient d’être publié. Comme vous allez le voir, après la présentation de la situation (très noire), nous dressons un tableau des perspectives que nous pensons prometteuses, malgré le pessimisme ambiant.
 
Nous reviendrons bientôt sur tous les « chantiers » dont nous parlons dans cet article pour donner une première idée de ce que nous commençons - à l’ARC et à l’UNARC - à faire en partenariat actif avec tel ou tel.
 
Voici l’article :
 
"Vive la crise!"
 
La crise est là et la copropriété est en crise.
La crise c'est à la fois une expérience très dure pour tous, mais c'est aussi sans doute le seul moyen d'avancer et de traiter les problèmes en apparence insolubles qui empoisonnent la vie des copropriétés et des copropriétaires depuis des années.
Il y a trois séries de problèmes plus préoccupants que les autres, en particulier. Et nous voudrions les passer en revue en indiquant ensuite comment - selon nous - la crise est déjà en train de nous aider à les résoudre et nous permettre d'aller au-delà du miroir.....
I. Les gros travaux et la rénovation énergétique
Le premier problème, c'est le blocage formidable des copropriétés en terme de gros travaux et de travaux de rénovation énergétique. Alors que le Grenelle 1 (ndlr: loi n° 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l'environnement) a fixé une baisse des consommations énergétiques dans le résidentiel à moins 38 % pour 2020, nous atteindrons sans doute à peine moins 10 %. Une catastrophe.
Pendant le même temps, les gros travaux d'entretien indispensables dans les trois à cinq millions de logements en copropriété concernant les immeubles vieillissants ne sont pas faits ou sont faits très partiellement. Comment faire pour éviter l'inévitable catastrophe ?
 
II. Les syndics de copropriété
Le deuxième problème est le problème syndics et leur formidable incapacité à « gérer » les copropriétés dans de bonnes conditions : transparence, efficacité, proximité, maîtrise. Au lieu de cela, concentration, deux mots qui expliquent les pathologies qui frappent le secteur. Et leurs conséquences, des gestionnaires surchargés, dépassés, justes capables d'assurer le minimum pendant que les financiers des groupes font de belles et dangereuses affaires, URBANIA qui a failli voler en éclat, FONCIA racheté par un fonds d'investissement, CITYA qui renoue avec la croissance externe mortifère pour les copropriétés...
Là aussi, comment faire pour empêcher le désastre ?
 
III. Les copropriétés fragiles et en difficulté
 
Le troisième problème est encore plus angoissant, c'est le défi des copropriétés dites fragiles et en difficulté, phénomène en accélération vertigineuse. Dérive des charges, impayés en augmentation, dévalorisation financière accélérée de certaines zones, précarisation d'une partie croissante des copropriétaires (retraités, primo-accédants, chômeurs), tout pousse au désastre.
 
Mais comment faire? Crise des travaux et du gros entretien, dérapage des charges, crise des syndics, crise des copropriétés fragiles et en difficulté.
Tout ceci donne envie de refermer la porte et d'aller voir ailleurs. Et pourtant c'est peut-être de cette multi-crise que vont finir par émerger les solutions.
Les oppositions s'apaisent, des partenariats se nouent, des solutions combinées se mettent en place, les uns écoutent enfin les autres.
Il y a peu le Président de l'ARC, Fernand Champavier, le Président de l'UNIS, Étienne Ginot et le Président de la FNAIM, Jean-François Buet pouvaient envisager ensemble des réunions de travail sur des sujets pourtant complexes et, il y a peu encore, polémiques. Rare.
 
Pour montrer que l'anti-crise est en marche, nous faisons le tour de ces actions communes de partenariales déjà engagées ou qui vont démarrer bientôt.
 
1. Premier chantier: pour contrer l'inertie en matière de gros travaux et de rénovation, il va FALLOIR mettre en place de façon généralisée des démarches et des méthodes nouvelles, des outils innovants.
 
Nous les connaissons déjà, ils sont en cours de construction ou de mise en œuvre :
  •  c'est le fonds travaux obligatoire déjà repris dans le projet de loi Duflot;
  •  c'est le B.I.C. (Bilan Initial de Copropriété) développé par Planète Copropriété et déjà utilisé par de nombreux acteurs;
-  c'est l'audit global partagé qui associe architecte et thermicien;
  •  c'est le « Quatre-quarts » pour boucler des plans de financements im-po-ssi-bles et associant CEE, fonds travaux, prêts collectifs, aides individuelles ou collectives;
  •  c'est les SEM régionales d'assistance;
  •  c'est la mobilisation des PME;
  •  c'est l'« étiquette charges »;
  •  c'est l'épargne collective avec le P.E.C. (Plan d'Épargne Copropriété); etc.
 
À l'ARC, nous voulons travailler ensemble avec tous ceux qui l'acceptent et ils sont nombreux : les banquiers, les opérateurs, les syndics, les architectes, les entreprises, les thermiciens, les associations diverses de tous horizons, les collectivités. Forcément nous allons trouver. Forcément.
 
2. Deuxième chantier: pour réguler la profession et les pratiques des syndics, il VA FALLOIR, comme chacun le sait, mettre en place des instances paritaires de contrôle, de discipline, d'encadrement, de formation, de déontologie.
 
Ce dont les professionnels ne voulaient pas entendre parler il y a encore deux ans devient aujourd'hui audible pour eux:
- des Hauts Conseils intégrant les représentants des usagers ; des instances paritaires de conciliation départementales; des commissions régionales disciplinaires ; la mise en place de référentiels professionnels définis avec les usagers ; des comptes séparés sans dérogation;  la rédaction de codes la mise en place de référentiels professionnels définis avec les usagers; des comptes séparés sans dérogation;  la rédaction de codes de déontologie concertés.
 
Nous faisons le pari qu'avant la parution des décrets de la loi DUFLOT des instances expérimentales seront déjà en place pour permettre de lancer le travail.
3. Troisième chantier: enfin pour prévenir les difficultés et guérir les copropriétés il faut - là aussi - des méthodes, des compétences, des partenariats nouveaux.
Ceux-ci sont en train d'émerger. Des collectivités territoriales, des opérateurs, des associations, des réseaux sociaux, des syndics, des agences d'État comme l'ANAH mettent en place des propositions innovantes et partenariales:
  •  un groupe de travail sur le syndic de redressement va se mettre en place ainsi que sur l'identification et le développement des compétences des mandataires ad hoc;
  •  des outils nouveaux pour redresser les copropriétés en difficulté vont être expérimentés (contrat de requalification; coopérative de reconstruction...) ;
  • les Observatoires locaux des copropriétés poussent comme des champignons; des outils nouveaux d'intervention y compris des Observatoires locaux des charges pour maîtriser les charges se mettent en place avec les collectivités; des dispositifs d'accompagnement - dès le début de la conception ou de la mise en route des immeubles - sont en gestation.
Là encore « nécessité fait loi », « nécessité rend ingénieux » et force à trouver les voies d'un traitement partenarial efficace.
 
La crise? Pas seulement, aussi un champ d'inventions et de développement de relations multi-partenariales inespéré. Un renouveau. Un espoir. Et, pour nous, surtout la fierté d'« en être ».
 
Vive cette dynamique de crise. Et qu'on en sorte vite et renouvelé ».
 

L’ARC et la Ville de MEAUX : 6 Formations pour les copropriétaires

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L’ARC et la Ville de MEAUX : 6 Formations pour les copropriétaires

Six formations sur le fonctionnement de la copropriété, le rôle du conseil syndical et l’organisation d’une campagne de travaux efficace ont été mises en place par la Ville de MEAUX, en Seine-et-Marne, en collaboration avec l’Association des Responsables de Copropriété.

I. Une première intervention très prometteuse

II. À MEAUX, la copropriété on la préfère bien gérée : une série de 5 formations déjà programmées.

 

Téléchargez l'article complet sur ces formations ci-dessous

 

Le Salon de l’ARC et de l’UNARC 2013 sera d’abord le Salon des Conseils syndicaux et des syndics bénévoles

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Le Salon de l’ARC et de l’UNARC 2013 sera d’abord le Salon des Conseils syndicaux et des syndics bénévoles

 
 
Oui, cette année nous avons décidé de répondre tout particulièrement aux besoins et questions :
 
  • des conseils (et des conseillers) syndicaux ;
  • des syndics bénévoles.
 
Pourquoi ?
 
Parce que c’est sur eux que repose en partie la « bonne gestion » d’une copropriété et qu’il est donc normal de les aider prioritairement.
 
C’est pourquoi cette année :
 
  • les guides gratuits (douze guides gratuits),
  • les ateliers ARC-UNARC ;
  • les ateliers professionnels,
  • les conférences plénières,
 
seront particulièrement centrés sur les questions des conseils syndicaux et syndics bénévoles avec le service de leur apporter les réponses les plus simples, les plus complètes, les plus pratiques. Voir le site : www.salon-copropriété-arc.fr
 
 
Mais naturellement ce Salon reste ouvert à TOUS les copropriétaires et à TOUS les syndics professionnels qui souhaitent améliorer leur connaissance et compétences au service des copropriétaires.
 
 

Contrats de syndic Le DOSSIER UFC-Que-Choisir/ARC fait le tour des médias : revue de Presse

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Contrats de syndic

Le DOSSIER UFC-Que-Choisir/ARC fait le tour des médias : revue de Presse

 
 
 
Alors que cela fait deux ans que nous disons que l’arrêté NOVELLI (19 mars 2010) est un « échec » et que - par son imprécision et ses insuffisances - il laisse libre court aux indélicatesses, abus, illégalités d’un trop grand nombre de syndics, le dossier réalisé en commun par l’ARC et l’UFC-Que-Choisir permet de mettre ce problème sur le devant de la scène et c’est très bien.
 
Comme toujours les chambres syndicales - plutôt que de chercher à réguler la situation dans leurs propres troupes - s’en prennent au « thermomètre » et crient à l’opération anti-syndics, ce qui ne fera qu’aggraver encore plus la mauvaise image que ces professionnels donnent d’eux et de leurs pratiques.
 
Voici un (petit) aperçu  du nombre important d’articles consacrés :
 
  • « Double facturation », « clauses abusives »... Les associations épinglent les syndics. LE MONDE | 28.05.2013 : www.unarc.fr/5wph
 
 
  • Syndics de copropriété : des pratiques « condamnables, lamentables ».  Les ECHOS.fr : www.unarc.fr/iu87
 
  • Copropriété : comment les syndics ont perdu la bataille de la communication : UNIVERSIMMO : www.unarc.fr/y8g4
 
 
  • Syndic : les mauvaises pratiques à nouveau pointées du doigt. Je Gère Mon Immobilier : www.unarc.fr/mt4d
 
 
 
  • Les abus et pratiques excessives des syndicats de copropriété selon UFC Que Choisir et l’ARC. La bonne agence.com TOP 5 : www.unarc.fr/46fk
 
 

OSCARVILLE : fruit du partenariat PAP-ARC, lancé depuis le 1er juin 2013

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OSCARVILLE :

fruit du partenariat PAP-ARC, lancé depuis le 1er juin 2013

 
I. PRESENTATION DU PARTENARIAT PAP-ARC
 
L’ARC et PAP, ont signé un protocole de partenariat visant à créer deux étiquettes permettant l’évaluation de la performance des copropriétés :
 
  • l’une indiquant le niveau des charges d’une copropriété ;
  • l’autre permettant de valoriser la valeur patrimoniale d’une copropriété.
 
PAP, est un acteur majeur de l’annonce immobilière exclusivement de particulier à particulier. Unique de par le service complet qu’il offre à ses usagers ainsi que  la pluralité de ses supports de diffusion que sont, le site pap.fr, les applications iPhone et Android et le journal PAP
L’ARC, de son côté, est la plus grande association loi 1901 dont le but est d’aider les copropriétaires soit à contrôler et assister leur syndic pour améliorer la gestion.
 
Aujourd’hui, un critère discriminant pour le choix d’un bien est celui du niveau des charges. Ce dernier renseigne plus que tout autre sur la qualité de la gestion courante et aussi sur celle de la gestion patrimoniale de la copropriété.
Or, actuellement, de nombreux sites aident à louer, vendre ou acheter, mais sans jamais fournir les informations les plus utiles comme celle du niveau des charges.
Voilà pourquoi l’ARC et PAP ont mis en place ce partenariat qui va se dérouler en deux phases.
 
1ère phase : Déploiement de l’étiquette « Charges »
  • Expérimentation du dispositif sur les villes de Paris, Montpellier et Nantes.
  • Plus, dans un deuxième temps, généralisation de l’étiquette Charges à tout le territoire.
 
L’obtention d’une étiquette INDICATIVE, à partir des données sur les charges de copropriété saisies directement par un copropriétaire, se fait en ligne grâce à l’outil OSCARVILLE présenté ci-après.
Ensuite, si le copropriétaire souhaite obtenir une étiquette CONTROLEE par l’ARC, il doit faire parvenir à cette dernière les annexes comptables de sa copropriété (même anonymé, rassurez-vous) et recevra le résultat sous huit jours.
 
2ème phase : Mise en œuvre de l’étiquette « Gestion patrimoniale »
On peut avoir des charges raisonnables ou faibles et-pourtant-ne pas avoir une bonne gestion patrimoniale de l’immeuble c’est-à-dire un bon suivi de l’entretien des bâtiments et des équipements collectifs.
La valeur et la qualité d’un bien immobilier sont évidemment liées à la qualité de la gestion patrimoniale qui dépend, elle-même, de la mise en œuvre de certains moyens.
 
II.  Présentation d’OSCARVILLE
 
Dans le cadre du partenariat avec PAP (De Particulier à Particulier), présenté ci-après, l’ARC et PAP ont mis en service le 1er juin 2013 l’outil OSCARVILLE, accessible gratuitement dans le cadre de l’expérimentation aux seules copropriétés situées à Paris, Montpellier et Nantes.
OSCARVILLE permet à ces copropriétés de mesurer leur performance en la comparant à la moyenne des charges d’un échantillon d’immeubles ayant la même configuration en services collectifs, en nombre de lots (appartements) et situés dans la même zone climatique (H1, H2, ou H3).
Après la saisie des données propres à une copropriété, OSCARVILLE fournit en retour un étalonnage dynamique des charges totales sur la base d’un étiquetage allant de A (logement économe) à G (logement énergivore), à l’instar de ce qui existe pour évaluer la performance énergétique des immeubles. En plus de l’étiquetage, OSCARVILLE fournit un diagnostic de performance par poste principal de charges (9 ont été identifiés), accompagné de signaux d’alerte lorsque les écarts avec les moyennes fournies par OSCAR sont très importants.
La connexion à OSCARVILLE se fait via le site pap.fr, après avoir renseigné la rubrique « recherche de vente » sur les villes de Paris, Montpellier et Nantes.
Les « plus » pour les adhérents de l’ARC.
Outre les restitutions fournies par OSCARVILLE, les adhérents de l’ARC bénéficient dans le cadre de ce partenariat avec PAP des avantages suivants :
  • Une offre spécifique de -20% sur le prix des annonces de ventes et de locations de bien immobiliers
  • Un accès à PAP Diagnostics avec un devis gratuit pour réaliser tous leurs diagnostics nécessaire à la vente d’un logement. 
 
A noter : rappelons que les adhérents collectifs de l’ARC ont accès à OSCAR+ qui leur délivre aussi, naturellement, leurs « étiquettes charges », ceci sur toute la France.
 
 
 

L’ARC participe à un colloque sur les copropriétés en difficulté

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L’ARC participe à un colloque sur les copropriétés en difficulté

 
organisé par la Fondation Abbé Pierre le 19 juin 2013 à 9h30
 
à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine au Palais de Chaillot à Paris.
 
« Les habitants, acteurs légitimes
du redressement durable des copropriétés en difficulté »
 
Nous vous invitons à participer à ces débats. L’inscription est gratuite
 
Vous trouverez le programme de la journée et le formulaire d’inscription  sur le site de la fondation abbé Pierre en suivant ce lien :
 
 

ABUS 3460 ADB-Gestion et Monsieur Sébastien BENARD : décidément...

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ABUS  3460  ADB-Gestion et Monsieur Sébastien BENARD : décidément...

 
I. Rappel
 
Il y a quatre ans, l’ARC avait signé une charte d’engagement avec le groupe DUMESNIL (groupe aujourd’hui disparu) dont, à l’époque, le cabinet ADB-Gestion (ADB = Agence Dumesnil BENARD).
 
L’ARC estimant que le groupe DUMESNIL ne répondait ni à l’esprit ni à la lettre de cet accord, dénonça assez vite celui-ci.
 
Environ vingt-cinq abus furent publiés sur notre site Internet pour préciser la situation et donner des explications à nos adhérents.
 
Quatre de ces abus (et seulement quatre) donnèrent lieu à une action judiciaire (en diffamation) à l’égard de l’ARC.
 
Quatre ans après, faisons-le point.
 
II. L’ARC deux fois vainqueur en « appel » ; ADB-Gestion deux fois débouté
 
Oui, fait très rare ADB vient d’être débouté par DEUX Cour d’Appel. Pourquoi ?
 
Parce qu’après avoir été débouté par la Cour d’Appel de Paris au civil (en 2011) sur les quatre abus, ADB avait cru devoir bon d’agir au pénal et vient également de se faire débouter par la Cour d’Appel pénale le 13 juin 2013.
 
Rappelons que ces quatre abus ont été publiés... fin 2009 !
 
Or, au lieu de se faire oublier et de consacrer tout son temps disponible et son argent à ses clients, que fait Monsieur BENARD, gérant d’ADB-Gestion ? Il va en Cassation.
 
C’est pathétique. Tout cela pour gagner encore un peu de temps et faire croire que...
 
III. Mais pendant ce temps là, ADB-Gestion continue... ses abus
 
On pourrait, en effet croire que depuis quatre ans, Monsieur Sébastien BENARD qui tient tant - contre l’avis de deux Cours d’Appel - à faire croire qu’il est victime de l’ARC, aurait eu à cœur d’être un bon syndic.
 
Visiblement non, comme le prouve nos abus de fin 2012 numéro 3291 www.unarc.fr/r93m, numéro 3299 www.unarc.fr/xrni, concernant son contrat de syndic et certaines dispositions de celui-ci.
 
Pour ceux qui n’auraient pas le temps de revenir à ces abus, voici quelques citations assez parlantes.
 
Nous attendons avec intérêt les « droits de réponse » de Monsieur Sébastien BENARD, le syndic-qui-n’est-pas-impressionné-d’avoir-été-débouté-par-deux-Cours-d’Appel.
 
Voici quelques citations assez parlantes :
 
ABUS N° 3291 : Le contrat de syndic ABD-Gestion : toujours autant d’illégalités
 ABD : ceux qui ne savent pas: ABD veut dire Agence BENARD-DUMESNIL, syndic parisien avec qui l’ARC à eu « quelques soucis ».
 
Nous pensions que tous nos adhérents avaient quitté ce syndic qui avait en son temps trompé la bonne foi de l’ARC.
 
Hé bien non. Une copropriété de 76 lots vient de nous informer qu’elle venait seulement (« enfin », dit le président) de se séparer de ce syndic.
 
 Ce président, nous a d’ailleurs envoyé copie du contrat soumis par ABD à l’assemblée générale de 2012 en nous incitant à en faire la contre-publicité.
 
Ce contrat a deux particularités :
  (...)
  1. il ajoute à ce contrat (sans l’indiquer) de nombreuses clauses illégales, ce qui est là encore regrettable et constitue une deuxième tromperie.
 Ainsi les qualités dominantes de ce syndic (dissimulation, illégalisme) sont-elles une nouvelle fois mises en œuvre et révélées grâce à nos adhérents.
Donnons quelques exemples des points litigieux qui concernent toutes les facturations au-delà des honoraires de base :
 
1) Facturation de la gestion des travaux d’entretien et de maintenance supérieure à 1 000 € TTC.
Illégal. L’arrêté du 19 mars 2010, que semble ne pas connaître ADB, prévoit que la gestion de TOUS les travaux d’entretien et de maintenance rentre dans les honoraires de gestion courante.  
 2) Gestion des archives dormantes facturées en plus des honoraires de base.
  Illégal sur la base de l’article 32 du décret du 17 mars 1967.
3) Facturation de la transmission des archives au syndic successeur plus transmission des archives électroniques.
  Illégal sur la base de l’arrêté du 19 mars 2010.
4) Actions en justice (en plus des frais de suivis de dossiers !) : honoraires de résultat, soit 4,18 % TTC sur tous les encaissements.
 
Incroyablement abusif : au nom de quoi un syndic, qui touche déjà des honoraires de suivi, toucherait-il un pourcentage de 4,18 % sur « l’article 700 », les indemnités judiciaires, les sommes encaissées ?!
5) En cas de placement des fonds, facturation au titre de la garantie financière apportée par le syndic.
 Mensonger et illégal : d’une part il n’y a aucune relation directe entre le placement des fonds et le niveau de la garantie ; d’autre part la Cour d’Appel de Grenoble et la Commission des Clauses Abusives ont déclaré cette mention illicite et abusive. 
6) Déclaration de sinistre affectant les parties communes quand l’origine est en partie privative.
  Illégal sur la base de l’arrêté du 19 mars 2010.
7) Courrier de rappel à l’ordre adressé à un copropriétaire : 25 €.
 
  Illégal sur la base de l’article 10-1 de la loi du 10 juillet 1965
8) Fourniture des données nécessaires à l’établissement d’un DPE (Diagnostic de Performance Energétique) : 150 €.
  Incroyablement abusif. Il s’agit juste de fournir les consommations des trois dernières années, ce qui prend trois minutes à un syndic normal.
9) Souscription assurance Dommage Ouvrage : 234 €
  Illégal sur la base de l’arrêté du 19 mars 2010 ET abusif (il s’agit juste, pour le syndic, d’envoyer un mail à l’assureur avec qui il a négocié une assurance dommage-ouvrage type !).
 
10) Compteur d’eau ou de chaleur :
calcul du forfait et régulation : 5 € par compteur.
 
  Illégal sur la base de l’arrêté du 19 mars 2010.
11) Travaux :
- gestion administrative et financière avec maître d’œuvre : 2,42 % ;
- gestion administrative et financière sans maître d’œuvre : 6 %.  
  Illégal sur la base de l’article 18-1.A de la loi du 10 juillet 1965.
 
12) Forfaits :
● Frais d’affranchissements, d’acheminements, comptes de charges et régularisations, circulaires, envoi de documents au CS : 1,10 € par lot et par mois.
Sont facturés en plus : convocations, PV d’AG, contentieux et LRAR.
 
● Scannérisation de tous les documents entrants ou sortants.
 
● Frais de tirages, photocopies, télécopies, E-mail, comptes de charges et régularisations annuelles, circulaires, envoi de documents au CS.
Sont facturés en plus : convocations et PV d’AGO et contentieux : 1,10 € par lot et par mois.  
 
1,10 € par mois + 1,00 € par mois + 1,84 € par mois font :
3,94 € par mois X 12 = 47,28 € par lot.
 
 
Oui : 47,28 € par lot pour quatre timbres, 4 envois de comptes et quelques photocopies, soit un maximum de 5 € par lot et par an !
 
47,28 €, soit dix fois plus que la normale pour des prestations qui devraient être intégrées dans le forfait de base !
47,28 € soit environ 30 % du forfait de base moyen annuel par lot !
 
C’est d’ailleurs le « forfait » de trop d’ADB qui a décidé nos adhérents (une copropriété de 76 lots, rappelons-le) à quitter ce syndic avec qui ils n’avaient plus que des problèmes.
 
ABUS N° 3299 : Le cabinet ABD - Agence BENARD-DUMESNIL : record mondial du tir au pigeon (et le « pigeon », bien sûr, c’est le copropriétaire !)
 L’une des rares copropriétés adhérentes à l’ARC qui n’avait pas encore quitté ce cabinet vient de le révoquer.
 
Son président nous a adressé le contrat 2012 de ce cabinet (que nous avons analysé par ailleurs dans notre abus numéro 3291 et qui présente un festival d’illégalités) en s’attachant particulièrement à un point de ce contrat, les forfaits « mensuels » : la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
 
Voici le mail de ce président.
 
« Chers Amis de l’ARC
 
Je vous adresse le contrat du cabinet ABD (Agence Benard Dumenil) que nous venons de quitter. Vous, qui traquez à juste titre les « forfaits »  (au double sens du terme) que les syndics facturent en plus des honoraires de base, vous allez être effarés par les 3 forfaits successifs que l’on trouve dans ce contrat.
 
 
 
Voici ce que l’on peut lire dans ce contrat (prix en €):
 
Frais d’affranchissements, d’acheminements, comptes de charges et régularisations, circulaires, envoi de documents au CS.
Sont facturés en plus : convocations, PV d’AG, contentieux et LRAR
 
0,92
 
0,18
 
Forfait
1,10/lot/mois
Scannérisation de tous les documents entrants ou sortants
0,84
0,16
Forfait
1,00/lot/mois
Frais de tirages, photocopies, télécopies, E-mail, comptes de charges et régularisations annuelles, circulaires, envoi de documents au CS.
Sont facturés en plus : convocations et PV d’AGO et contentieux »
 
1,54
 
0,30
 
Forfait
1,84/lot/mois
 
 
Déjà, ce syndic parle de prix par lot et par mois, ce qui est d’une rare hypocrisie et montre bien une volonté de tromper les copropriétaires. Mais en plus, ces forfaits cumulés sont exorbitants.
Car lorsque l’on calcule sur une année et par lot,  cela donne : 1,10 € + 1 € + 1,84 € x douze mois  = 47,28 € soit un tiers des honoraires de base !
 
Notez bien que ces forfaits (dont un au moins est illicite, celui sur la scanérisation) sont calculés en plus des frais d’affranchissement et de photocopies pour assemblée générale ordinaire.
 
Ils ne concernent donc que les quatre envois de comptes annuels et la régularisation annuelle plus quelques photocopies et courriers au conseil syndical et la scanérisation des documents qui fait d’abord gagner du temps au syndic !
 
Or ces frais (qui sont d’ailleurs prévisibles et donc devraient être inclus dans les honoraires de base) représentent 5 à 6 € maximum par an et par lot, ce qui laisse une marge de 38 à 40 € par lot et par an sur ce seul poste. Comment peut-on profiter autant de la faiblesse des copropriétaires ?
 
Merci, chers amis de l’ARC de faire connaître largement ce genre de pratique et d’abus et d’inciter les autres adhérents à faire comme nous : refuser.
 
À bientôt ».