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Le Nouvel Observateur, la SEM Posit’If et les adhérents de l’ARC

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Le Nouvel Observateur, la SEM Posit’If et les adhérents de l’ARC

 
Un des moyens efficaces d’aider les copropriétés à engager une rénovation énergétique ambitieuse est ce qu’on appelle le « tiers financement ».
 
Or, une des collectivités territoriales en pointe par rapport à ce dispositif est la Région Ile de France qui a mis en place très récemment une SEM dédiée, appelée joliment « Energie Posit’If » (IF comme Ile de France, bien sûr) [A noter : au capital de cette SEM on trouve non seulement de nombreuses collectivités territoriales d’Ile de France, mais aussi la Caisse d‘Epargne et la Caisse des Dépôts et Consignations)]. L’ARC travaille avec cette SEM non seulement depuis le début, mais même AVANT le début puisque nous avons fait partie des structures consultées pour sa mise en place puis associées à cette mise en place.
 
Voici un article très récent du Nouvel Observateur qui parle du sujet. À noter : la copropriété citée comme pionnière est (évidemment) une copropriété adhérente à l’ARC.
 
« ZOOM SUR UN OUTIL FINANCIER INNOVANT
Réhabiliter sans dépenser
La rénovation thermique de 500 OOO logements par an promise par Hollande? On en est très loin. Mais un dispositif pourrait permettre d'atteindre l'objectif : le "tiers financement"
Ce vendredi, c'est la réunion « rénovation thermique » du conseil syndical [adhérent à l’ARC]. Seule une toute petite minorité des 281 copropriétaires de cet immeuble de Bagnolet, en banlieue parisienne, sont présents.
A leur tête, deux trentenaires (...), sont redoutablement déterminés. Ils sont arrivés avec des dossiers sous le bras, flanqués de leur architecte-conseil spécialisé. Les hausses inexorables des tarifs du gaz, du fioul ou de l'électricité, ils ne veulent plus les subir. Ils savent comment les affronter.
 
Leur immeuble, construit dans les années 1960 lorsque le baril de pétrole était à 22 dollars contre 106 dollars aujourd'hui, est un cas d'école. Une « passoire thermique » comme 68% des bâtiments d'Ile-de-France et 83% des logements dans Paris intra-muros. Chantal qui habite au premier étage est intarissable sur les aberrations de l'époque. «Rien que le conduit du chauffage central est une insulte au bon sens, remarque-t-elle. Il part de la cave, remonte l'eau chaude sous les toits au grand froid et redescend l'eau tiédasse dans les radiateurs de l'autre côté de l'immeuble. Marre de geler l'hiver et de griller l'été
 
Carlos, lui, en a soupé des calfeutrages hors de prix qui ne servent à rien. Il ne veut plus qu'on rafistole la chaudière au gaz hors d'âge. Il veut un vrai « bouclier thermique » du toit à la cave. Il souhaite une nouvelle « peau » en façade qui retienne les calories. Il veut du double vitrage, des huisseries et une ventilation qui tiennent la route.
 
Première estimation chiffrée des travaux? 2,3 millions d'euros. À ce prix-là, le bâtiment qui est en classe E passerait en classe B dite « basse consommation ». Ce qui permettrait un gain de 50% de performance énergétique (soit une économie de 133 kWh par m5 et par an) et surtout une division par plus de deux de la facture d’énergie annuelle de caque copropriétaire : de 813 euros à 336 euros.
Appréciable ! Mis 8 327 euros d’investissement pour chaque copropriétaire, c'est une somme rondelette pas si facile à rassembler ou à emprunter, Chantal, qui fut présidente du conseil syndical, connaît bien les membres de son assemblée générale et redoute qu'au moment du vote la décision soit repoussée. Tous se retournent donc vers un invité très attendu : José Lopez. Il est le directeur de la SEM Energies Posit'If lancée en début d'année par la région Ile-de-France, son actionnaire majoritaire, la Ville de Paris et 12 collectivités et syndicats d'énergie franciliens. Sa mission : isoler les habitations... sans que les propriétaires y soient de leur poche.           
Dans le lagage technocratique de la rénovation, la Société d'Économie mixte est un « tiers financeur». Première étape, elle avance jusqu'à 35% du coût total des travaux avec l'appui de la Caisse des Dépôts et de la Caisse d'Épargne qui font partie de son capital. Deuxième étape, elle collecte toutes les aides auxquelles sont éligibles chacun des copropriétaires et qui permettent de payer 15% des travaux. Et sa mission ne s'arrête pas là : elle devient aussi un super maître d'œuvre. Elle procède aux appels d'offres, s'assure de la compétence des corps de métiers, négocie, prend en charge les parties privatives d'intérêt collectif comme les fenêtres, garantit enfin que les économies d'énergie ne soient pas, in fine, qu'un mirage... C'est important, car ce sont bien ces économies qui vont permettre à la SEM de rembourser son avance, mais aussi aux copropriétaires de financer le coût des travaux qui reste à leur charge (environ la moitié).
 
Au final, Energies Posit'If assure aux copropriétaires de Bagnolet une opération financièrement blanche. C'est le petit miracle du « tiers financement » : la mensualité des travaux étalée sur dix, douze, quinze ou vingt ans par chacun des copropriétaires est effacée en temps réel par la baisse des charges sur le gaz qui est d'un montant équivalent. « Et, lorsque le remboursement des travaux et de notre prestation sera achevé, précise Lopez, chacun bénéficiera de l'intégralité des économies d’énergie ». Des Zorro? « Pour quiconque, s'est essayé à accrocher un prêt à taux zéro auprès d'une banque ou un crédit d'impôt dans le maquis des dispositifs d'aide à la rénovation, confie un entrepreneur du bâtiment, c'est certain!»
 
En ces temps de disette financière des États comme des ménages, le dispositif du tiers payant fait bien sûr gamberger les politiques. À commencer par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault qui donnait un large écho à ces « nouveaux financements innovants » lors de la conférence environnementale du 15 septembre dernier.
 
Il évoquait alors la version quasi magique testée en Allemagne par la banque publique KfW. Outre-Rhin ; c'est l'intégralité de l'investissement de la rénovation qui est avancée et le propriétaire n'a plus rien d'autre à faire que verser au tiers financent le montant de sa facture énergétique calculée avant travaux. Ni plus ni moins. C'est ce dernier qui règle ensuite les fournisseurs d'énergie. Et comme la douloureuse a baissé grâce à la nouvelle efficacité thermique du bâtiment, il se rémunère sur la différence. Un contrat vertueux : le tiers financeur a tout intérêt à boucler le chantier au plus vite -  un an en général - et au mieux. Quant au propriétaire, il n'a pas eu à avancer un seul centime.
 
Oui, l'idée est formidable, mais pour l'instant, en France, elle est au point mort. Jean-Marc Ayrault, Cécile Duflot, la ministre du Loge­ment, n'en parlent plus. L'aventure pionnière de La SF.M Energies Posit'lf qui vient de prendre ses quartiers dans le 19e arrondissement de Paris, boulevard Macdonald, est donc observée à la loupe. Le chantier est immense. Certes les pavillons et antres propriétés privées ne sont pas éligibles. Mais en Ile-de-France un million de logements énergétivores en propriété collective sont concernés. Depuis des semaines, José Lopez et son équipe sont appelés partout à Choisy, à Colombes, à La Celle-Saint-Cloud, à Cergy-Pontoise, dans le 18e et le 14e arrondissement de Paris-Mais avec 5,3 millions d'euros de capital fournis principalement par la Région, la SEM Energies Posit'If ne peut donner que ce qu'elle a... Et financer la rénovation de 1000 logements environ par an. Cela commencera en 2014, avec trois chantiers.
C'est un bon début, mais ce n'est pas en rapport avec les besoins ».
(...)
Guillaume MALAURIE ».
 
Dans un prochain article nous essaierons de distinguer le dispositif de « tiers financement » (celui de la SEM) du dispositif de « tiers investissement » (que beaucoup confondent), sachant que le modèle de « tiers investissement » privé que certains essayent de promouvoir en France (exemple : Olivier ORTEGA du cabinet PELLETIER) s’avère en fait difficile voire très peu intéressant pour les clients (dont les copropriétés) tant les « investisseurs » (banquiers) sont gourmands.
D’ailleurs le Nouvel Observateur finit ainsi son article : « En Grande-Bretagne, les taux d'intérêt exorbitants exigés par les sociétés de services énergétiques pour financer le tiers payant [tiers investissement] sont même en train de faire vaciller les premières opérations de réhabilitation du programme Green Deal. Le modèle français, lui, commence à Bagnolet. Mais il reste entièrement à écrire ».
 
Si vous êtes intéressé par le « tiers financement » à la française, (et non le tiers investissement) contactez-nous. Nous vous mettrons en contact avec la SEM Énergie Posit’If.
 

ABUS 3514 Syndic et assurance : notre premier dossier du mois d’août

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ABUS 3514 Syndic et assurance : notre premier dossier du mois d’août

 
Beaucoup de remontées déjà sur notre premier dossier du mois d’août.
 
A titre d’exemple ce témoignage d’un conseil syndical adhérent à l’ARC Sud-ouest :
Madame, Monsieur,
Membre de l’AGRC sud-ouest, le conseil syndical de la résidence "L...." à Toulouse souhaite témoigner sur les syndics et les assurances.
En effet, nous tenions à vous informer de la pratique illicite de notre syndic « BELVIA IMMOBILIER » (ex : AKERYS Immobilier) qui a souscrit en toute illégalité des contrats d’assurance au nom du syndicat de copropriété avec une de ses filiales courtier en assurances « THESEIS CAPITAL ».
 Quand on parle de conflits d’intérêts, pour notre cas on ne peut pas faire mieux ! :
Il s’agit d’un programme immobilier (fin de construction en août 2011) sur Toulouse destiné majoritairement à la défiscalisation dont :
  • Le promoteur de ce programme immobilier est AKEYRYS PROMOTION
  •  Le notaire a désigné comme syndic provisoire AKEYRYS SERVICES IMMOBILIERS par le règlement de copropriété
  • AKEYRYS SERVICES IMMOBILIERS regroupant les métiers de la location a proposé aux investisseurs la gestion locative de leurs appartements
En 2012, AKEYRYS SERVICES IMMOBILIERS est devenu BELVIA IMMOBILIER. Un changement de nom qui ne viendra rien modifier aux activités du groupe … Gestion locative, syndic de copropriété ou encore transactions immobilières sont toujours au programme au sein de ses agences.
Le résultat de ces conflits d’intérêts est édifiant pour notre expérience :
  1. BELVIA IMMOBILIER a choisi sa filiale de courtage en assurances THESEIS CAPITAL (filiale du groupe AKEYRYS) en toute illégalité puisqu’aucune autorisation préalable n’a été demandée en assemblée générale
  2. Le syndic BELVIA a mené pendant un an une gestion catastrophique ce qui nous a obligé à convoqué une AG extraordinaire afin d’aboutir à un vote unanime pour le révoquer
  3. nombreux copropriétaires nous ont fait part de leur mécontentement sur la gestion de leur bien (loyers impayés, logement vide, non prise en charge de l’assurance loyers impayés ...
Voilà un nouvel exemple de conflits d’intérêts qui démontre que l’on ne peut pas être juge et parti si on veut faire correctement son travail.
 Cordialement ».
Merci à nos adhérents de leurs précieux témoignages.
 

Attention : chers adhérents, les sites de l’ARC et de Copropriété-Services sont réservés uniquement à votre service

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Attention : chers adhérents, les sites de l’ARC et de Copropriété-Services sont réservés uniquement à votre service

 

Au cours de ces cinq dernières années, l’ARC et sa coopérative-technique ont développé et continuent a développer différents sites Internet permettant aux responsables de copropriété de pouvoir assurer au mieux leur mission.

 

C’est ainsi que sont mis actuellement à la disposition des syndics bénévoles et conseillers syndicaux des sites :

 

  • « d’intranet » pour communiquer et échanger entre copropriétaires d’une même résidence ;
  •  « de mise en concurrence » pour rechercher des entreprises et faire des appels d’offres en ligne ;
  • « d’achat en ligne » de produits d’entretien et de matériels ou équipements pour entretenir les parties communes :
  •  permettant de connaître le tarif du fioul du jour ainsi que des cinq dernières années
  • « de forum » où les  adhérents peuvent communiquer entre eux ;
  • « de comparateur des charges » pour contrôler si les dépenses de votre copropriété sont maîtrisées ;
  • « d’information » qui seront prochainement totalement sécurisés par des codes d’identification ;
  • de suivi du budget et d’analyse du bilan financier.

 

Pour la rentrée, l’ARC travaille sur d’autres projets, comme « le portail de l’adhérent » qui va permettre de mutualiser l’ensemble de ces sites dans une seule application afin de faciliter leur utilisation. Mais encore, Copropriété-Services développe des outils qui permettront d’obtenir des devis en ligne ou de suivre les dossiers sinistres qui seront directement renseignés par l’agent général d’assurance…

 

Cependant, nous avons constaté que certains syndics professionnels se sont procurés souvent à l’insu du conseil syndical les codes d’accès des sites et faisaient « leur marché » grâce à tout le travail réalisé par l’ARC pour ses adhérents. Nous avons ainsi épinglé un syndic professionnel qui a utilisé les codes d’accès pour se noter favorablement sur le site « unarcom.fr ». C’est face à ce constat que l’ARC a pris la regrettable décision de supprimer cette option du site unarcom.fr qui présentait, de ce fait, des résultats falsifiés. En revanche, le forum permettant d’échanger entre les responsables de copropriété est bien entendu maintenu.

 

C’est pour cela que nous invitons les conseils syndicaux à changer leur code d’accès des sites concernés sur leur espace réservé et les garder bien précieusement.

 

Si vous voulez savoir comment exploiter au mieux les différents sites Internet, rendez-vous au « Salon indépendant de la copropriété » qui se tiendra le  16 et 17 Octobre 2013 à l’Espace Charenton à Paris.

 

 

Le fonds travaux et l’audit global sont « rétablis»

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Le fonds travaux et l’audit global sont « rétablis»

 
 
Suite, en particulier, à notre action et au dossier juridique et « social » sur le « fonds travaux » que nous avons largement diffusé auprès des parlementaires (17 juillet dernier), la Commission des Affaires Economiques de l’Assemblée Nationale vient d’adopter à l’unanimité un amendement rétablissant le « le fonds travaux » et l’audit global, écartés de façon discutable.
 
Nous sommes heureux de ce rétablissement, le fonds travaux étant le seul dispositif susceptible de « sauver » les copropriétés des blocages trop nombreux qu’elles connaissent en matière de gros travaux.
 
Il faut maintenant que le gouvernement puisse répondre à notre demande de mise en place d’un Plan d’Épargne Copropriété (PEC) sur le modèle du Plan d’Épargne Logement (PEL), afin de résoudre les problèmes concernant :
 
  • le placement des fonds concernés ;
  • la sécurisation de ces fonds.
 
 

Le journal « Le MONITEUR » fait écho à notre dossier sur le « méga-fichier » des copropriété

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Le journal « Le MONITEUR » fait écho à notre dossier sur le « méga-fichier » des copropriétés

 
La semaine dernière nous avons publié une longue note sur un projet « fou » inclus dans la loi A.L.U.R. (Accès au Logement et à un Urbanisme Rénové), (voir : www.unarc.fr/wg3h).
 
Nous sommes heureux de constater que notre position fait déjà l’objet de divers articles dans la Presse spécialisée. Voici, à titre d’exemple, ce qu’en dit Le MONITEUR du 30 juillet 2013 :
 

Loi logement : les copropriétaires s’insurgent contre la création d’un « méga fichier »

30/07/2013 | 10:35 | LE MONITEUR
 
Deux associations de défense des copropriétaires s’insurgent lundi contre la création d’un registre d’immatriculation des copropriétés, un « méga fichier », « potentiellement dangereux et très coûteux » selon elles, prévu dans le cadre du projet de loi sur le logement.
 
Alors que le projet de loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové (Alur) de la ministre du Logement Cécile Duflot (qui compte 84 articles) sera examiné en première lecture par l'Assemblée à compter du 10 septembre, premier jour de la session parlementaire extraordinaire de rentrée, les deux associations de défense des copropriétaires, Arc et Unarc, expriment leur désaccord sur la création d’un fichier de données sur les copropriétés.
 
 "La France compte neuf millions de logements en copropriété et n'a jamais mis en place, malgré les demandes de nombreuses organisations, dont l'Arc, le moindre registre permettant de commencer à connaître la copropriété et les copropriétés", rappellent l'Union nationale des responsables de copropriétés (Unarc) et l'Association des responsables de copropriété (Arc) dans un communiqué commun. En effet, "élus et services locaux sont démunis face aux copropriétés qu'ils connaissent souvent mal et qui, la plupart du temps, se referment comme des huîtres quand on les approche", poursuivent-elles. 

 

Registre "trop ambitieux, potentiellement dangereux et très coûteux" 

Mais l'Arc et l'Unarc estiment que le registre d'immatriculation des copropriétés, tel qu'il est prévu à l'heure actuelle, est "trop ambitieux, potentiellement dangereux et très coûteux", car il doit contenir un grand nombre de données sur les copropriétés, leur gouvernance, leur gestion, les procédures administratives et judiciaires en cours... soit "plus de 60 rubriques".
 
Ces informations devront ainsi "remonter des 600.000 syndicats de copropriété en France" et être traitées de façon centralisée.
 
Or l'Arc, qui a lui-même mis en place un Observatoire des charges à partir des annexes comptables fournies par les copropriétés, a noté que celles-ci contenaient de "nombreuses erreurs" aux "origines très diverses". "Certaines données de base elles-mêmes (y compris le nombre de mètres carrés habitables) peuvent être radicalement fausses, les syndics pouvant confondre surfaces habitables, surfaces développées, surface hors œuvre nette, surface hors œuvre brute", rapportent ainsi les associations.
 
"Plus préoccupant encore", poursuivent-elles : "Il apparaît que de nombreuses données comptables ne reflètent pas forcément la réalité, soit parce que certains comptes ne sont pas utilisés, soit parce que les comptes ne sont pas forcément le reflet de la réalité". Ainsi "il est presque toujours nécessaire de procéder à des corrections (...) avant de saisir ces données", d'autant que leur mise à jour annuelle laisse à désirer. Les associations anticipent en outre que la constitution de ce fichier "pharaonique" sera vécu comme une "intrusion" par les copropriétaires, et ce "d'autant plus qu'un dispositif répressif et pénal lourd est prévu pour favoriser la participation des réticents".
 
 
 

LOISELET mis en concurrence ou les exploits de Copropriété-Services : une économie, sur une seule commande d’ampoules, de 572 € !

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LOISELET mis en concurrence ou les exploits de Copropriété-Services :
une économie, sur une seule commande d’ampoules,
de 572 € !
 
 
I. Un président de conseil syndical géré par LOISELET fait appel à Copropriété-Services
 
Peu persuadé que son cabinet LOISELET négocie bien les prix comme il le prétend, un président d’un conseil syndical adhérent à l’ARC fait appel à Copropriété-Services pour mettre le prestataire de LOISELET en concurrence.
 
II. Résultat : moins 46 % ou encore moins 572 € pour des fournitures identiques
 
Oui, sur une seule commande : une année et demie de cotisation collective à l’ARC gratuite.
 
La commande était :
 
  • « 75 lampes radium 28 W E 14 ;
  • « 75 lampes Radium 28 W E 27 ;
  • « 100 lampes Radium 42 W E 27 ;
  • “20 tubes Philips master PL-S 9W/840 2 P”.
 
  • Résultat LOISELET : 1.245,39 € !
 
  • Résultat Copropriété-Services : 673,30 €
 
On ne comprenait pas bien pourquoi LOISELET appelait sa charte « Gold » (charte signé avec les fournisseurs) ; on comprend mieux maintenant : de « l’or » oui, mais  pour les fournisseurs.
 
Conclusion. Il n’y a pas de conclusion si ce n’est que notre coopérative, Copropriété-Services, non seulement est très utile à nos adhérents, mais va vite devenir indispensable aux syndics pour les aider à faire jouer la concurrence...
 
Merci qui ?
 

Pannes d’ascenseur : en attendant l’étude contradictoire

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Pannes d’ascenseur :

en attendant l’étude contradictoire

 
 
Oui, en attendant l’étude contradictoire que nous avons proposé à la Fédération des Ascenseurs (voir : www.unarc.fr/suy2) de lancer ensemble, vous pouvez - en ce qui vous concerne - répondre aux trois questions suivantes :
 
 
  1. Quelles sont les dates des cinq dernières pannes de votre ascenseur (si vous en avez plusieurs, prenez celui de votre cage d’escalier) :
 
 
 
  1. Quelles sont les causes réelles de ces pannes :
 
 
 
 
 
  1. Qu’est-ce que l’ascensoriste a du faire pour remettre l’appareil en marche :
 
 
 
 
 
Merci de nous adresser vos réponses (qui vous intéresseront d’abord VOUS-MÊME) en nous précisant :
 
L’adresse :
 
 
L’ascensoriste :
 
 
À noter : si vous êtes ascensoriste, beau-frère d’ascensoriste, ami d’ascensoristes, merci de ne pas répondre à cette enquête ou de nous préciser vos liens de parenté ou d’amitié...
 
À noter aussi : notre site est doté d’un détecteur de mensonges...
 
 

Syndic et loi A.L.U.R. : Juris-hebdo publie notre réaction

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Syndic et loi A.L.U.R. : Juris-hebdo publie notre réaction

 
 
Nous remercions la rédaction de Juris-hebdo d’avoir publié notre réaction suite à l’interview d’un des responsables de TAGERIM, Monsieur YAOUB (voir : abus numéro 3498 : www. unarc.fr/wrk7).
 
 
 
Réaction
 
À la suite de la publication de la semaine dernière l'Interview de Lahlo Ayoub (Tagerim) qui exprimait ses réserves face au projet de loi ALUR concernant le métier de syndic, nous avons reçu un courrier de l'ARC. En voici les principaux extraits.
 
« Nous sommes extrêmement surpris par la faiblesse des arguments avancés par un des principaux syndics de France :
 
  • Où Monsieur Ayoub a-t-il vu que la ministre voulait augmenter les tâches de gestion courante sans supplément d'honoraires? La ministre - sous la pression de l'ensemble des organisations de copropriétaires et de consommateurs, mais aussi du ministère de la Justice, et ce depuis quatre ans - souhaite simplement obliger les syndics à proposer des forfaits de gestion courante complets et transparents pour empêcher la multiplication des honoraires supplémentaires abusifs. C'est ce qui s'est firt dans le domaine des ascenseurs à la satisfaction de tous. Si les prix des forfaits (enfin complets) doivent augmenter, ils augmenteront, mais ceci dans le cadre d'une concurrence loyale et de la transparence tarifaire la plus totale, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. [...].
 
  • Combattre le compte séparé en agitant l'épouvantail des improbables coupures d'eau liée à un déficit de trésorerie est non seule­ment affligeant, mais prouve que les syndics n'ont vraiment plus aucun argument ; aujourd'hui 90 % des copropriétés disposent de réserves (avances diverses, anciens fonds de roulement; réserves de trésorerie; comptes vendeurs, etc.) qui sont placés au seul profit du syndic. Ces réserves seront tout simplement placées sur un compte d'épargne au plus grand profit du syndicat. Où est le problème pour les copropriétaires? Quant au cas de véritable déficit de trésorerie, ils sont dans 99 cas sur 100 dus au laxisme du syndic en matière de recouvrement des charges ou à des erreurs de gestion (appels de fonds envoyés trop tard, par exemple). Le compte séparé obligera à plus de rigueur de gestion. [...]
 
En fait les propos de Monsieur Ayoub sont rassurants: les syndics n'ont aucun argument véritable à opposer au compte sépare et celui-ci apparaît non seulement comme un outil de transparence financière indispensable, mais aussi comme un facteur de rigueur de gestion. Que demander de plus?"
 
 Fernand Champavier, Président de l'ARC ».
 
 

Guide de Planète Copropriété et ARC sur l’Audit Energétique obligatoire ou tout ce qu’il faut savoir pour reussir son audit ou : toutes les erreurs à éviter pour échapper aux audits inutiles

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Guide de Planète Copropriété et ARC sur l’Audit Energétique obligatoire

ou

tout ce qu’il faut savoir pour reussir son audit

ou :

toutes les erreurs à éviter pour échapper aux audits inutiles

 

Ce guide est déjà un succès. Il y a quelques jours un président de conseil syndical d’une copropriété de 150 logements à Nancy demandait 150 exemplaires pour les diffuser à tous les copropriétaires ET occupants. Nous vous invitons à le télécharger sans modération et à le diffuser à un maximum de copropriétaires.

 

voir : www.unarc.fr/i7dw

 

 

 

Le site de l’UNARC et la RATP

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Le site de l’UNARC et la RATP

 
 
Beaucoup de copropriétaires qui fréquentent notre site Internet et la station AUBER-Opéra avaient apprécié notre « coup de gueule » sur la situation que nous avions qualifié d’« immonde » de certains couloirs de cette station.
 
Suite à nos « abus », certains de nos adhérents un peu stupéfaits avaient constaté un effort évident de la RATP.
 
Celle-ci va aujourd’hui encore plus loin comme nous l’ont appris ces mêmes adhérents...
 
Voici l’article paru dans la Presse et que nous avons reçu en plusieurs exemplaires (Ah ! si Monsieur Philippe BRIAND, PDG de CITYA, pouvait être aussi réactif que la RATP... On peut rêver, non ?).
 
Voici l’article paru dans la Presse :
 
La propriété sur les rails
 
 
La RATP sera désormais plus exigeante avec les agences de nettoyage.
 
La RATP veut   en finir avec la saleté du métro.
 La Régie a annoncé hier la mise en place d'un plan de 70 millions d'eu­ros par an, pendant cinq ans, afin de renforcer la propreté du réseau, à compter du 1er octobre. Ce sont 10 millions d'euros annuels de plus que l'actuel plan, effectif depuis 2007. Pierre Mongin, le PDG du groupe, a souligné hier faire de la propreté «une priorité», expliquant qu'il s'agit d'un «élément essentiel de la qualité du service pour les voyageurs». Il s'engage ainsi à ce qu'il, y ait «une nette amélioration de l'état du réseau dans les dix-huit mois». Pour venir à bout des mauvaises odeurs et de l'insalubrité de certaines stations, comme Châtelet-les-Halles ou Auber, la RATP a revu ses exigences à la hausse auprès des cinq prestataires, dont les 1 000 agents assurent chaque jour le nettoyage des 366 gares et stations du réseau francilien - soit 1,3 million de mètres carrés -, des 400 kilomètres de voies et du millier de trains. La RATP va ainsi effectuer 3 400 contrôles inopinés par mois afin de mesurer la qualité des espaces. A cela s'ajoutera un système de «bonus-malus» pour les sociétés de propreté : en cas de manquement, des pénalités pourront être prononcées.
L'étanchéité en question
Par ailleurs, la RATP va lancer un vaste programme contre les infiltrations d'eau de 40 millions d'euros supplémentaires jusqu'en 2015. Celui-ci doit permettre une refonte totale de l'étanchéité de 70 stations, parmi lesquelles Bastille, Charles-de-GAULLE-Etoile, Champs-Elysées-Clémenceau ou Palais-Royal. Dans ces dernières, l'humidité a fortement détérioré les murs et les plafonds, d'où s'écoule de l'eau sale formant parfois des flaques glissantes. Ces investissements interviennent alors que le groupe RATP affiche un chiffre d'affaires de 2,6 milliards d'euros au premier semestre, soit 4,1 % de plus que l'an dernier à la même période. •