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Appel aux adhérents pour animer des permanences locales

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Appel aux adhérents pour animer des permanences locales

 
Pour compléter ses permanences locales existantes – Boulogne (92), Cergy (95), Créteil (94), Nanterre (92), Saint-Denis (93) – l’ARC souhaite animer des permanences juridiques dans d’autres villes stratégiques de la nouvelle Métropole Grand Paris, comme par exemple : Argenteuil, Aulnay-sous-Bois, Rosny-Sous-Bois, mais aussi dans des agglomérations denses ou des Villes nouvelles comme Évry.
 
Pour l’animation de ces nouvelles permanences juridiques, l’ARC recherche donc des adhérents bénévoles qui auront pour mission d’assurer des consultations sur ces territoires. Ces bénévoles bénéficieront de formation continue afin d’être à jour de leurs connaissances juridiques sur la copropriété.
 
L’objectif de ces permanences est d’être plus proche de nos adhérents et, mais aussi d’être une force de proposition locale auprès des collectivités territoriales.
Ces permanences seront proposées une à deux fois par mois au sein de villes (ou agglomérations).
 
Si cela vous intéresse, vous pouvez proposer votre candidature bénévole en envoyant un mail à l’adresse suivante : contact@arc-copro.fr en précisant comme objet « permanences locales ».
 
Sur ce mail devront figurer les informations suivantes :
 
  • votre numéro d’adhérent ;
  • le code postal des lieux où vous souhaiteriez intervenir ;
  • le nombre d’années d’expérience au sein du conseil syndical ou en tant que syndic bénévole.
  • Éventuellement votre implication locale actuelle ou dans un réseau (associatif, etc.).
 

Un nouvel incontournable de l’ARC, le guide sur : comment être un « responsable de copropriété » efficace face aux nouvelles obligations des lois ALUR, MACRON et de Transition Energétique

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Un nouvel incontournable de l’ARC, le guide sur :

comment être un « responsable de copropriété » efficace face aux nouvelles obligations des lois ALUR, MACRON et de Transition Energétique

 
La semaine dernière, nous vous annoncions le programme du colloque organisé le 15 mars prochain sur le thème : « Comment être un "responsable de copropriété" efficace face aux nouvelles obligations émanant des lois ALUR, MACRON et de Transition Energétique » : www.arc-copro.com/rai3.
 
Lors de cette journée, tous les participants recevront un guide en couleur d’une cinquantaine de pages expliquant l’ensemble des nouvelles dispositions légales et réglementaires, mettant par ailleurs en exergue les conseils et préconisations de l’ARC.
 
Ce guide (d’une valeur faciale de 6 euros) sera donné gratuitement aux adhérents collectifs de l’ARC dès leur arrivée à la journée du 15 mars. Rappel : l’entrée est libre pour tous les adhérents collectifs, sur présentation de leur numéro d’adhérent à jour de la cotisation.
 
Sans vous faire trop « baver », voici quand même déjà le sommaire de ce guide. Rassurez-vous, il ne reste plus que 14 jours à attendre. Cette journée est la vôtre, soyez donc nombreux.
 
 
 
 
Première partie :  les dispositions issues de la loi ALUR et de la loi MACRON auxquelles il faudra être vigilant
 
 
INTRODUCTION
 
  1. L’établissement des budgets prévisionnels en concertation avec le conseil syndical
  2. Possibilité de faire appel à une société d’archivage
  3. Suivi des opérations bancaires de la copropriété
  4. Obligation de mise à disposition d’un extranet au profit du conseil  syndical et des copropriétaires
  5. Honoraires de travaux du syndic
  6. Mise en concurrence du premier syndic
  7. Interdiction pour le syndic de faire intervenir une société avec qui il est lié sans autorisation spéciale de l’assemblée générale
  8. Transparence sur les honoraires de l’avocat de la copropriété
  9. Contrôle des modalités des notifications électroniques
  10. Introduction d’une délégation élargie au profit du conseil syndical pour les copropriétés de moins de seize lots
  11. La mise en concurrence des contrats de syndic
  12. Délégation faite au conseil syndical en matière d’installation de fibre optique dans la copropriété
 
 
Deuxième partie : La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte. Les articles qui vous concernent
 
 
  1. Obligation de rénovation énergétique sous conditions
  2. Changement de majorité pour le vote des travaux de rénovation énergétique (article 14)
  3. Modifications des conditions de dérogation à l’obligation d’installer des répartiteurs de frais de chauffage et mise en place de sanctions (articles 26 et 27)
  4. Mesures pour encadrer la réalisation des travaux de rénovation
  5. Mise en place d’un outil de suivi technique des équipements et du bâtiment : création d’un carnet numérique de suivi et d’entretien (article 11)
  6. Aménagements pour les véhicules électriques (VEHR) et les vélos 
 
 
 
Troisième partie : Les points primordiaux à contrôler dans votre contrat type de syndic
 
 
  1. Les « parties » figurant au contrat
  2. Les points du contrat type préalables à la rémunération
  3. Les points 7 à 7.1.5 du contrat type : la rémunération forfaitaire
  4. Le point 7.2. à 7.2.7 du contrat type : les prestations complémentaires
  5. Le point 9. du contrat type : prestations imputables aux seuls copropriétaires
 
Quatrième partie : Préparation de l’assemblée générale. Les questions à l’ordre du jour dont il faudra se méfier et celles qu’il faudra y inscrire
 
 
 
  1. Les questions portées à l’ordre du jour qui doivent être supprimées (ou qui imposent une vigilance)
  2. Les questions qu’il faudra inscrire à l’ordre du jour
 
 

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Audit énergétique obligatoire en 2016 : pensez à vous former !

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Audit énergétique obligatoire  en 2016 : pensez à vous former !

 

La date limite pour effectuer son audit énergétique approche : les copropriétés de plus de 49 lots en chauffage collectif ont en effet jusqu’au 31 décembre 2016 pour le réaliser.

 

Nous recevons de nombreuses questions à ce sujet : quel type d’audit privilégier ? Avec quels prestataires ? En quoi consistent précisément les obligations réglementaires ? L’audit a-t-il une utilité ? Etc. Nous vous invitons donc à participer à des formations organisées spécialement sur ce sujet.

 

Dans les Yvelines : l’ALEC de Saint-Quentin-en-Yvelines et l’ADIL 78 proposent un petit déjeuner technique « AUDIT COPRO, session de rattrapage », gratuit et ouvert à tous, le mercredi 16 mars de 8h30 à 10h. Rappelons que l’ALEC a récemment signé une charte avec l’ARC, destinée à renforcer et améliorer l’accompagnement à la rénovation des copropriétés. Attention, inscription obligatoire coproprietes@energie-sqy.com ou par téléphone au 01 34 52 26 34 avant le 14 mars. Lieu : Salle de l’Argos, 17 avenue de Villepreux, 78 340 Les Clayes-Sous-Bois.

 

A Paris : l’ARC organise une formation le jeudi 24 mars après-midi au 25 rue Python, Paris 20ème, réservée aux adhérents de l’ARC (30€). Attention, inscription obligatoire au 01 40 30 42 82 ou par e-mail à contact@copropriete-services.fr

 

 

La Revue trimestrielle N°112 de l’ARC est « dans les boîtes »

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La Revue trimestrielle N°112 de l’ARC est « dans les boîtes »

 

Et voici un nouveau trimestre qui commence bien puisque vous venez (ou vous allez très vite) recevoir notre dernière revue trimestrielle si vous êtes adhérent ou abonné.

 

Cette revue vous accompagnera dans la préparation de vos prochaines assemblées générales et de vos contrôles des comptes de l’exercice grâce notamment au dossier « Comment aborder de manière efficace le contrôle des comptes de sa copropriété ? » que vous retrouverez page 22.

 

Concernant les syndics professionnels, vous découvrirez deux dossiers qui ne manqueront pas de vous intéresser :

  • « Les syndics et leurs filiales » (page 19) ;
  • « Rachat des cabinets de syndic : comment réagir ? » (page 28).

Pour nos adhérents les plus pressés, cette nouvelle revue est désormais accessible en ligne dans notre LIBRAIRIE : http://arc-copro.fr/librairie/les-revues-bulletins-de-larc.

 

 

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L’ARC « décentralise » ses formations : un véritable succès pour les formations locales de Nanterre et de Saint-Denis

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L’ARC « décentralise » ses formations :

un véritable succès pour les formations locales de Nanterre et de Saint-Denis

 

Les formations du 8 mars 2016 à Saint-Denis et du 17 mars à Nanterre ont été un véritable succès. Ces formations gratuites s’adressaient à tous les copropriétaires, les conseillers syndicaux et les syndics bénévoles adhérents, ou non adhérents, à l’ARC.

 

L’objectif de ces deux sessions de formation était de permettre aux acteurs de la copropriété de mieux comprendre et d’approfondir leurs connaissances sur le fonctionnement « des 3 organes de gestion » de la copropriété depuis la loi Alur à savoir, l’assemblée générale, le syndic et le conseil syndical.

 

Le bilan de ces deux sessions est un véritable succès, car nous avons fait salle comble. Nous remercions tous les participants et les Villes pour leurs retours très positifs sur le déroulement des formations.

 

Nous vous remercions pour vos retours très chaleureux sur le déroulement des formations.

 

Ces formations gratuites ont été l’occasion d’informer les copropriétaires de la présence de l’ARC localement.

 

 

 

Rappelons : en effet, qu’une permanence de l’ARC est assurée :

 

     - à NANTERRE (92) : tous les mercredis, de 9h à13 heures ;

     - à SAINT-DENIS (93) : tous les lundis, de 14h à 17 heures.

 

Ces permanences locales sont ouvertes à tous sans rendez-vous. Elles sont comprises dans l’adhésion à l’ARC. Pour les non adhérents, une participation de 24 € est demandée pour chaque consultation.

 

 

Au plaisir de vous y retrouver prochainement.

 

 

 

Mobilisation de tous les copropriétaires de France auprès de leur député et sénateur pour que la composition et les règles de nomination des membres de la Commission de Contrôle ne soient pas modifiées par le Gouvernement (et pour que l’ARC en soit membre

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Mobilisation de tous les copropriétaires de France auprès de leur député et sénateur pour que la composition et les règles de nomination des membres de la Commission de Contrôle ne soient pas modifiées par le Gouvernement

(et pour que l’ARC en soit membre titulaire) !

 
En octobre 2015, nous avons sollicité tous les copropriétaires de France pour qu’ils saisissent leur député afin que ces derniers obtiennent des Ministres du Logement et de la Justice la sortie des décrets d’application concernant la mise en place de la commission de contrôle.
 
Pour rappel, cette instance pluridisciplinaire sera chargée de sanctionner les  nombreux manquements aux textes légaux et réglementaires, mais aussi aux dispositions prévues par le Code de déontologie, relevés notamment dans les pratiques des syndics professionnels.
 
Cette mobilisation a été extrêmement suivie, aussi bien par les copropriétaires, mais aussi par les députés puisque nous avons reçu plus d’une centaine de courriers de leur part qui se sont concrétisés par une dizaine de questions parlementaires inscrites au journal officiel qui sont en attente de réponses.
 
Néanmoins, nous constatons que plus de deux ans après la promulgation de la loi ALUR et malgré la mobilisation importante des parlementaires, le décret relatif à la Commission de contrôle n’est toujours pas publié.
 
Selon nous, la raison est que les professionnels de l’immobilier essayent d’influencer le Gouvernement pour que les associations défendant les intérêts des syndicats de copropriétaires et, en premier lieu desquelles l’ARC, n’y siège pas. 
 
Pour cela, a été introduit dans le projet de loi « Égalité et  Citoyenneté », un article 33 qui donnerait au gouvernement la possibilité de redéfinir, par voie d’ordonnance, « la composition et les règles de nomination des membres de la commission de contrôle ».
 
Cette disposition est donc une nouvelle tentative pour « détricoter » davantage un acquis législatif issu de la loi ALUR, qui prévoyait la création d’une commission paritaire dans laquelle devaient siéger notamment les représentants des syndicats de copropriétaires et non « un ordre de professionnel » réservé uniquement aux représentants des grands groupes de syndic.
 
Il est donc essentiel que l’article prévu dans le projet de la loi « Égalité et Citoyenneté » ne soit pas voté en l’état. Mais encore, face aux abus et irrégularités des professionnels de plus en plus préjudiciables pour les copropriétés,  il est à présent urgent que la Commission de contrôle, dans laquelle une association comme l’ARC doit être présente, voit au plus vite le jour.
 
L’ARC a déjà commencé à alerter (à travers un article : www.arc-copro.com/ukwg et un communiqué de Presse : www.arc-copro.com/1bui) l’ensemble des copropriétaires et a également saisi les parlementaires à ce sujet : "L’ARC saisit l’ensemble des parlementaires face à la menace d’une refonte de la composition et des règles de nomination des membres de la Commission de contrôle".
 
Face à ces enjeux capitaux, nous re-sollicitons l’ensemble des copropriétaires de France pour qu’ils alertent à nouveau et à leur tour leur député, mais aussi leur sénateur pour leur demander de refuser un tel projet d’article de loi et pour qu’ils réclament instamment la mise en place de la Commission de contrôle paritaire telle que prévue par la loi ALUR.
 
 À ce titre, nous avons rédigé un courrier type dont chaque copropriétaire peut s’inspirer pour écrire à son député ou à son sénateur.
 
Nous invitons tous les copropriétaires à relayer cette action auprès de toute personne intéressée et les remercions par avance pour leur mobilisation.
En parallèle, l’ARC a saisi l’ensemble des députés et sénateurs ainsi que les ministères du Logement et de la Justice sur la gravité de la situation
 
 
 
« Prénom :                                                                                                     Ville, le
Nom :
Adresse :
                  À Monsieur ou Madame……                    
 Député/Sénateur de…………………
Assemblée Nationale
126, rue de l’Université
75355 PARIS 07 SP
                                                                                                                                                                
 
 
 
Objet : Risque avéré de modification de la composition de la Commission de contrôle des professionnels de l’immobilier
 
Monsieur le Député/Sénateur,
 
C’est en tant qu’habitant et copropriétaire au sein de votre circonscription que je me permets de vous solliciter.
 
L’article 13-6 de la loi n°70-9 du 2 janvier 1970, modifié par la Loi ALUR  n° 2014-366 du 24 mars 2014, a prévu la mise en place d’une commission de contrôle qui aura pour fonction de sanctionner tout manquement des professionnels, et notamment des syndics, aux textes de lois et règlements.
 
Conformément à cette disposition législative, cette instance doit être composée entre autres de magistrats de l’ordre judiciaire, des membres d’une profession juridique ou judiciaire qualifiés dans le domaine de l’immobilier ainsi que des personnes représentant les cocontractants, à savoir les syndicats de copropriétaires.
 
 
En effet, lors des débats sur la loi ALUR, le législateur a voulu la création d’une Commission paritaire et non d’un « ordre professionnel » qui serait composé uniquement de représentants de syndic ou de grands groupes immobiliers.
 
Ceci étant, l’article 33 du projet de loi « Égalité et Citoyenneté »  prévoit de revenir sur cette disposition légale en donnant au gouvernement la possibilité de redéfinir, par voie d’ordonnance, « la composition et les règles de nomination des membres de la Commission de contrôle ».
 
Cet article de loi est donc une tentative pour revenir sur des acquis législatifs issus de la loi ALUR en permettant au Gouvernement, aujourd’hui ou demain, influencé par des groupes puissants de l’immobilier, de supprimer tel ou tel représentant dans cette commission et, en premier lieu, ceux défendant l’intérêt des syndicats de copropriétaires.
 
Ce qui paraît le plus consternant c’est que ce projet de loi souhaite aussi « confier la personnalité morale à cette commission de contrôle », lui permettant ainsi d’obtenir des subventions publiques en parallèle la possibilité qui serait laissée, par voie d’ordonnance, de se constituer en un « ordre professionnel ».
 
C’est pour ces motifs que je souhaite vous alerter sur cet article du projet de loi particulièrement pernicieux qui permettrait d’une part, d’évincer les associations de cette commission et d’autre part, d’aboutir dans un délai plus ou moins court à un ordre des professionnels de l’immobilier.
 
Je me permets donc de vous alerter pour que vous vous opposiez à cette disposition législative et que vous défendiez la place des associations comme l’ARC au sein de cette commission afin que les intérêts des syndicats de copropriétaires soient au mieux représentés.
 
Par ailleurs, je vous sollicite pour que vous incitiez le gouvernement à prendre rapidement les décrets d’application pour que la commission de contrôle puisse être constituée.
 
Pour mémoire, cette association est totalement indépendante et ne perçoit aucune subvention des pouvoirs publics. Elle a été créée il y a plus de 28 ans et milite activement pour défendre les intérêts des syndicats des copropriétaires.
 
Elle siège d’ailleurs dans plusieurs commissions nationales et était membre permanent de la Commission Relative à la Copropriété (CRC) qui a été récemment dissoute.
 
Je vous remercie des suites que vous voudrez bien donner à mon courrier et dans cette attente, je vous prie d’agréer, Monsieur (Madame) le Député/Sénateur, l’expression de mes salutations distinguées ».
 
 

Non, vous ne ferez pas taire le Directeur général de l’ARC !

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L’ARC est accoutumée à recevoir des courriers en recommandé émanant de syndics professionnels ou de sociétés indélicates « menaçant » le président ou le directeur général de l’association d’actions judiciaires si un abus les concernant n’était pas supprimé de notre site Internet.

Droits dans nos bottes, nous refusons systématiquement de faire suite à ces demandes en invitant ces professionnels à corriger leurs pratiques ou à nous assigner s’ils considéraient que nos accusations étaient infondées.
 
Dernièrement, le directeur général a reçu un courrier en recommandé bien étrange émanant cette fois-ci, non pas d’un cabinet de syndic, ni d’une société, mais de trois membres du conseil d’administration de l’ARC.
 
L’objectif recherché est de faire taire le directeur général  en  l’intimidant d’une action judiciaire à son encontre, afin de le dissuader de dénoncer les agissements contre-productifs engagés par ces trois membres du conseil d’administration.
 
Voici en effet un extrait de leur courrier :
 
« Ayant pu constater dans le passé que vous avez pris une part active aux débats qui ont secoué le conseil, nous avons l’honneur de vous rappeler, qu’en tant que salarié de l’association, vous êtes tenu, sauf à engager votre responsabilité personnelle, à ne pas prendre parti dans ces débats entre administrateurs... »
 
Ce document est signé par Jean-Claude BOUILLET, Rolande EVRARD et Max MORTIER, tous trois administrateurs de l’ARC (le courrier intégral est à la disposition des adhérents à l’accueil de l’association).
  1. Une grosse erreur inadmissible commise par ces trois administrateurs

Il est clair que ces trois administrateurs ne connaissent pas les réelles convictions des dirigeants de l’ARC et la force qui anime l’association pour défendre sans compromis l’intérêt de l’ARC et de ses adhérents, même au prix d’une action judiciaire.
 
C’est la raison pour laquelle non seulement le Directeur général de l’ARC ne se taira pas, mais au contraire, il prendra parti dans ce débat pour assurer que les actions mises en place au sein de l’association se font au profit des adhérents et pourront perdurer et se multiplier dans le temps.
 
C’est ainsi que le directeur général interviendra le 23 juin 2016 lors du Colloque (voir : www.arc-copro.com/fkv2), pour expliquer pourquoi, selon lui, Madame Rolande EVRARD et Messieurs Jean-Claude BOUILLET et Max MORTIER n’ont pas leur place au sein du Conseil d’Administration de l’ARC.
 
  1. Comment défendre les intérêts de l’association ?

Pour le Directeur général, il est clair que face à la diffamation et à la calomnie de ses trois administrateurs, il sera question de mettre en balance l’ensemble des actions qui ont été menées en l’espace d’un an et demi sous l’impulsion du président en place, monsieur Gérard ANDRIEUX.
 
En effet, l’ARC a pu organiser et mettre en œuvre des colloques, la diffusion de guides gratuits, de nouvelles formations le samedi, des consultations en soirée, des formations sur Internet, de nouvelles rubriques sur le site, de nouveaux logiciels pour les syndics bénévoles et les conseils syndicaux, des permanences locales...
 
Bientôt, ce sera la distribution dans les kiosques et point relais d’un magazine grand public à destination des copropriétaires, un logiciel pour aider les syndics bénévoles à l’immatriculation des copropriétés, une assistance pour la pesée des postes et la rémunération des gardiens et employés d’immeubles...
 
Il est donc essentiel que tous les adhérents qui ont à cœur de voir perdurer toutes ces actions, ainsi que la dénonciation des abus des syndics sur notre site Internet, se rendent de façon massive à l’assemblée générale pour défendre l’équipe de Gérard ANDRIEUX.
 
S’il vous est impossible de vous déplacer,  transmettez votre pouvoir  en désignant « Gérard Andrieux » comme mandataire pour qu’il puisse être réélu et continuer, avec le Directeur général, à consolider les projets déjà mis en place ainsi que le développement de nouveaux services.
 
Il est donc essentiel que tous les adhérents de l’ARC se mobilisent pour éradiquer les actions menées au sein du conseil d’administration par tous ceux qui voudraient la perte de notre association telle qu’elle existe actuellement.
 

Pour obtenir un pouvoir (à nous retourner sur l’adresse mail suivante : contact@arc-copro.fr), cliquez ici

 
 
 

La Revue trimestrielle N°113 de l’ARC est « dans les boîtes »

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La Revue trimestrielle N°113 de l’ARC est « dans les boîtes »

 

 

Si vous n’avez pas encore pris la route des vacances, n’oubliez pas de mettre dans vos bagages la nouvelle revue trimestrielle numéro 113 de l’ARC et de l’UNARC qui vient d’arriver dans vos boîtes aux lettres (ou qui va très prochainement arriver).

 

Cette revue 113 fait un point d’actualité sur les décrets « ALUR » : ceux qui sont déjà sortis et ceux qui sont toujours en attente. Elle revient aussi sur l’actualité des « répartiteurs ».

 

Elle vous aidera aussi à préparer la rentrée : nous vous disons tout sur le nouveau fonds travaux obligatoire au 1er janvier 2017 (après notre conférence très suivie du Colloque du 23 juin), sur les causes de révocation des syndics et sur les nouveaux services de l’ARC concernant la gestion du personnel en copropriété !

 

 

Cette revue 113 réchauffera votre mois de juillet même si vous êtes toujours (comme nous) plongés dans la grisaille ! 

 

Pour nos adhérents les plus pressés, cette nouvelle revue est désormais accessible en ligne dans notre LIBRAIRIE : www.http://arc-copro.fr/librairie.

 

 

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Les Mardis Techniques de l’ARC

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Les Mardis Techniques de l’ARC

SUSPENDUS JUSQU'A NOUVEL ORDRE

L’ARC a mis en place des formations techniques renforcées hebdomadaires. Tous les mardis de 14h30 à 17h30, les responsables de copropriétés (conseil syndical et syndic bénévole) peuvent bénéficier de séances permettant de mettre à jour et d’approfondir leurs connaissances techniques afin de bien maîtriser la gestion technique des équipements et services collectifs de leur copropriété et ainsi éviter les abus. 

Ces formations sont dispensées par des professionnels en activité, spécialisés dans leur domaine et référencés par l’ARC, dans les locaux de Copropriété Services au7 rue de Thionville 75020 PARIS. Les supports de présentation power-point et/ou les vidéos présentés sont disponibles sur le site Evènements de l’ARC accessible à partir du Portail de l’Adhérent (www.leportaildelarc.fr) et en cliquant sur l’icône « Les Mardis Techniques de l’Arc ».

Les frais d’inscription sont de 10 € par séance de formation et de 40 € pour le package de cinq séances de formation. Il convient de s’inscrire en envoyant un mail à coproservices@arc-copro.fr ou en téléphonant au 01 40 30 42 82. Le règlement de votre participation est à faire sur place.

 

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